Les appels du coeur
Entre bonheur et tristesse, je te cherche sans savoir où se trouve ma direction,
Pas à pas, j'avance et ma curiosité est en éveil, grâce à mes pensées en ébullitions,
Mon cœur frappe dans la poitrine, qu'il se fait sentir par tellement de vibrations,
Encore et encore tout droit devant moi, je file à vive allure, je trace mon chemin,
Parfois, même malgré moi, je cherche un signe de toi, balayant l'air de la main,
Et peut-être me guider vers toi, sans que rien me pousse, ni même de parchemin,
Mon air peut paraître sûrement absent, sans doute mon regard dans le vide flotte,
À mes côtés, je rêve que soit toujours, hélas, de ma tête cette idée, il faut que j'ôte,
Lorsque je ferme les yeux, c'est presque comme si je pouvais sentir ta présence,
Soudainement autour de moi plane un doux parfum subtil et plein d'aisance,
Là, j'observe qu'encore la grande place à mes côtés est vide et sans effervescence,
Devant moi, défile ma vie, entre virage, chaos, et tellement de grands espoirs,
De temps à autre, prise de lassitude, je me sens seule et je rêve en secret dans le noir,
J'ai ton minois en ma mémoire Lorsque je tombe entre les bras de Morphée le soir,
Les traits de ton visage se dessinent dans la transparence de mon regard rêveur
Il est possible qu'il soit ne serait-ce qu'un temps soit peu furtivement révélateur,
Tout bas, je t'acclame, crie ton prénom pour aller avec toi vers tellement d'ailleurs,
Le long de mon visage s'écoulent mes larmes, puis dégoulinent sur mes joues du fard,
Le tout pour le tout, il faudra bien que je tente de parlé avant qu'il ne soit trop tard,
J'ai si froid sans ta chaleur, de tes bras, j'ai faim de tes sourires, soif de tes rires,
Depuis les lointains, je t'appelle, très pensive, je me surprends à m'entendre frémir,
Si tu restes sourd à mes appels parfumés de sentiment sulfureux, alors je me retire,
Peu à peu, Le cœur gros, sans émettre un seul bruit, je me retirerais doucement,
Tristement, je m'aperçois que je reste sans savoir la vraie nature de tes sentiments,
Pourtant, dans mes yeux, brille l'amour pour lui au point d'atteindre le firmament.
Entre bonheur et tristesse, je te cherche sans savoir où se trouve ma direction,
Pas à pas, j'avance et ma curiosité est en éveil, grâce à mes pensées en ébullitions,
Mon cœur frappe dans la poitrine, qu'il se fait sentir par tellement de vibrations,
Encore et encore tout droit devant moi, je file à vive allure, je trace mon chemin,
Parfois, même malgré moi, je cherche un signe de toi, balayant l'air de la main,
Et peut-être me guider vers toi, sans que rien me pousse, ni même de parchemin,
Mon air peut paraître sûrement absent, sans doute mon regard dans le vide flotte,
À mes côtés, je rêve que soit toujours, hélas, de ma tête cette idée, il faut que j'ôte,
Lorsque je ferme les yeux, c'est presque comme si je pouvais sentir ta présence,
Soudainement autour de moi plane un doux parfum subtil et plein d'aisance,
Là, j'observe qu'encore la grande place à mes côtés est vide et sans effervescence,
Devant moi, défile ma vie, entre virage, chaos, et tellement de grands espoirs,
De temps à autre, prise de lassitude, je me sens seule et je rêve en secret dans le noir,
J'ai ton minois en ma mémoire Lorsque je tombe entre les bras de Morphée le soir,
Les traits de ton visage se dessinent dans la transparence de mon regard rêveur
Il est possible qu'il soit ne serait-ce qu'un temps soit peu furtivement révélateur,
Tout bas, je t'acclame, crie ton prénom pour aller avec toi vers tellement d'ailleurs,
Le long de mon visage s'écoulent mes larmes, puis dégoulinent sur mes joues du fard,
Le tout pour le tout, il faudra bien que je tente de parlé avant qu'il ne soit trop tard,
J'ai si froid sans ta chaleur, de tes bras, j'ai faim de tes sourires, soif de tes rires,
Depuis les lointains, je t'appelle, très pensive, je me surprends à m'entendre frémir,
Si tu restes sourd à mes appels parfumés de sentiment sulfureux, alors je me retire,
Peu à peu, Le cœur gros, sans émettre un seul bruit, je me retirerais doucement,
Tristement, je m'aperçois que je reste sans savoir la vraie nature de tes sentiments,
Pourtant, dans mes yeux, brille l'amour pour lui au point d'atteindre le firmament.
