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Sans galette de l'échec au mariage.

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#1
Sans galette de l'échec au mariage...

Sur cette table, il ne faut pas faire un four,
En déplaçant mon roi et maniant mes espions,
Par l’échec d’une reine délayant des faux pions,
Pour rester le roi droit, en jouant de la tour.

C’est en lâchant mes fous que je lui fais la cour,
Ensemble, à cheval, que tous nous festoyons,
Déclarant ma flamme, au damier, nous roucoulions,
Échec ou réussite, mesurant nos parcours.

Féerique dans sa superbe robe blanche,
Je lui déclame une déclaration franche,
Fier, altier, égal à mon bel animal noir

A deux, sans tactique, nous nous prîmes à ce jeu,
Pour enfin nous unir d’un amour de feu,

Et notre communion consacrée à la foire.
 

lilasys

Maître Poète
#5
Tu es une merveille ....Croiser ta route est un bonheur et j'envoie de gros bisous à Brigitte !!
entre Dame , echec et mat je passe !!! Ces jeux sont pas pour moi !! la patience n'est pas mon fort
Je joue à la pétanque mais il faut se pousser disait toujours mon papa mdr, ben quoi !!
Bisous
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lilasys

Maître Poète
#6
Sans galette de l'échec au mariage..
Sans palette le rire du coloriage





Sur cette table, il ne faut pas faire un four,
En déplaçant mon roi et maniant mes espions,
Par l’échec d’une reine délayant des faux pions,
Pour rester le roi droit, en jouant de la tour.


Je pète un câble , on a mangé mon yaourt
Ce n'est pas moi alors c'est toi tel un morpion
J'ai de la peine mais toi tu te grattes le fion
Pour faire ta loi, tu ponds des calembours


C’est en lâchant mes fous que je lui fais la cour,
Ensemble, à cheval, que tous nous festoyons,
Déclarant ma flamme, au damier, nous roucoulions,
Échec ou réussite, mesurant nos parcours.


Marchant en dehors des clous, tu es sourds
Nous sommes en cavale , ça c'est du mac rond
Prise en flemme , de délit nous reculions
Une mi temps de taille entre flics, voyous, lourd


Féerique dans sa superbe robe blanche,
Je lui déclame une déclaration franche,
Fier, altier, égal à mon bel animal noir


Tragique dans nos camisoles serrées aux hanches
On demande réclamation le nez dans la fange
Orgueilleux point fidèle des moutons de l'espoir

A deux, sans tactique, nous nous prîmes à ce jeu,
Pour enfin nous unir d’un amour de feu,
Et notre communion consacrée à la foire.


A dix avec des tocs , ils avaient des primes ces gueux
Pour enfin nous punir d'une patrie ou si peu
Et notre association crucifier sans gloire ......


LURON / LILASYS

La-Pleine-Lune-du-2-Mars-2018-660x440.jpg






 

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#8

Sur cette table, il ne faut pas faire un four,
En déplaçant mon roi et maniant mes espions,
Par l’échec d’une reine délayant des faux pions,

Pour rester le roi droit, en jouant de la tour.


Je pète un câble, on a mangé mon yaourt
Ce n'est pas moi alors c'est toi tel un morpion
J'ai de la peine mais toi tu te grattes le fion
Pour faire ta loi, tu ponds des calembours


Je fête ta fable ou t’as rangé ton humour,
C’est sûrement toi, dès lors le roi est lion,
T’as de la veine avec ta natte de compétition,

A défaire la foi qui rompt tous les contours.


C’est en lâchant mes fous que je lui fais la cour,
Ensemble, à cheval, que tous nous festoyons,
Déclarant ma flamme, au damier, nous roucoulions,

Échec ou réussite, mesurant nos parcours.


Marchant en dehors des clous, tu es sourds
Nous sommes en cavale, ça c'est du mac rond
Prise en flemme, de délit nous reculions
Une mi temps de taille entre flics, voyous, lourd


Courant au passage des fous, je suis gourd,
A me refaire l’encéphale, car il n’est point rond,
Crise de femme en débit de forte boisson,

Un instant de faille entre tics, youyous d’amour.


Féerique dans sa superbe robe blanche,
Je lui déclame une déclaration franche,
Fier, altier, égal à mon bel animal noir


Tragique dans nos camisoles serrées aux hanches
On demande réclamation le nez dans la fange
Orgueilleux point fidèle des moutons de l'espoir


Fabrique de nos casseroles ferrées aux manches,
On quémande l’acclamation innée, étanche,
Merveilleux soins d’Adèle, des gloutons de désespoir.


A deux, sans tactique, nous nous prîmes à ce jeu,
Pour enfin nous unir d’un amour de feu,
Et notre communion consacrée à la foire.


A dix avec des tocs, ils avaient des primes ces gueux
Pour enfin nous punir d'une patrie ou si peu
Et notre association crucifier sans gloire ......

A cent tous en toque, ils avaient des frimes d’anxieux,
Pour en faim désunir les fratries d’affreux,
Et la corporation n’est pas fière de vous croire.


LURON / LILASYS / LURON
 
Dernière édition:

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#9
Sans galette de l'échec au mariage..
Sans palette le rire du coloriage


Sur cette table, il ne faut pas faire un four,
En déplaçant mon roi et maniant mes espions,
Par l’échec d’une reine délayant des faux pions,

Pour rester le roi droit, en jouant de la tour.

Je pète un câble, on a mangé mon yaourt
Ce n'est pas moi alors c'est toi tel un morpion
J'ai de la peine mais toi tu te grattes le fion
Pour faire ta loi, tu ponds des calembours

Je fête ta fable ou t’as rangé ton humour,
C’est sûrement toi, dès lors le roi est lion,
T’as de la veine avec ta natte de compétition,

A défaire la foi qui rompt tous les contours.

C’est en lâchant mes fous que je lui fais la cour,
Ensemble, à cheval, que tous nous festoyons,
Déclarant ma flamme, au damier, nous roucoulions,
Échec ou réussite, mesurant nos parcours.


Marchant en dehors des clous, tu es sourds
Nous sommes en cavale, ça c'est du mac rond
Prise en flemme, de délit nous reculions
Une mi temps de taille entre flics, voyous, lourd

Courant au passage des fous, je suis gourd,
A me refaire l’encéphale, car il n’est point rond,
Crise de femme en débit de forte boisson,
Un instant de faille entre tics, youyous d’amour.


Féerique dans sa superbe robe blanche,
Je lui déclame une déclaration franche,
Fier, altier, égal à mon bel animal noir


Tragique dans nos camisoles serrées aux hanches
On demande réclamation le nez dans la fange
Orgueilleux point fidèle des moutons de l'espoir


Fabrique de nos casseroles ferrées aux manches,
On quémande l’acclamation innée, étanche,
Merveilleux soins d’Adèle, des gloutons de désespoir.

A deux, sans tactique, nous nous prîmes à ce jeu,
Pour enfin nous unir d’un amour de feu,

Et notre communion consacrée à la foire.

A dix avec des tocs, ils avaient des primes ces gueux
Pour enfin nous punir d'une patrie ou si peu
Et notre association crucifier sans gloire ......

A cent tous en toque, ils avaient des frimes d’anxieux,
Pour en faim désunir les fratries d’affreux,
Et la corporation n’est pas fière de vous croire.


LURON / LILASYS /
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