J'ai adoré ;-)
Au "débotté", votre texte a provoqué celui-ci, que je publie également (en vous le dédiant discrètement) de manière distincte, car j'ai l'impression qu'il a le droit de vivre, lui aussi, sa propre petite vie de petit texte :
Ogresses
J'ai souvent levé la flanelle
Sur quelques rides éternelles.
Dévêtues, les braves femelles
Livraient plus que des étincelles,
Et ma bûche à l'âtre d'icelles
Chauffait autant que leurs mamelles :
C'est qu'elles retrouvaient en selle
Soudain l'ardeur des jouvencelles.