Mon visage est si pâle,
Et j'ai tellement mal,
Tout au fond de mon coeur,
Coule une rivière de pleurs,
Ils ont été si durs tes mots comme des poignards,
Qui ont clôts notre histoire,
Je suis à la fenêtre,
Je cache mon mal-être,
Et une humide larme,
Me rappelle ton charme,
Mais je dois continuer mon cheminement,
Afin d'oublier ce terrible déchirement