Ronge ! (pastiche)
J’ai, cette belle trêve, posée, que la femme n’effraye,
D’un humour pour ma sœur, qu’attriste toute mort,
L’instant qu’effleure, l’atome sous les pores,
Comme pour fendre, noyer, enchante les mois récités.
Ho, haïssez-moi, sortir, hautain au tain altier,
Quand bougonnent mes maux, déflagrants à l’aurore,
Qu’un tourment dans ce flot, ici fleure encore,
Ainsi je fuis et m’incline de mes vœux dégondés.
D'une douche infidèle, d’une brève, biaisons,
Tortore mon chapeau, d’une fève, défrisons,
Qu’une gamète, sur mon corps, me dévergonde.
Réveiller mes plaisirs sans le roi des piments,
Plus chatoyante encore aux mille filaments,
Et couvrir de nouveau mes arrières en ronde.
J’ai, cette belle trêve, posée, que la femme n’effraye,
D’un humour pour ma sœur, qu’attriste toute mort,
L’instant qu’effleure, l’atome sous les pores,
Comme pour fendre, noyer, enchante les mois récités.
Ho, haïssez-moi, sortir, hautain au tain altier,
Quand bougonnent mes maux, déflagrants à l’aurore,
Qu’un tourment dans ce flot, ici fleure encore,
Ainsi je fuis et m’incline de mes vœux dégondés.
D'une douche infidèle, d’une brève, biaisons,
Tortore mon chapeau, d’une fève, défrisons,
Qu’une gamète, sur mon corps, me dévergonde.
Réveiller mes plaisirs sans le roi des piments,
Plus chatoyante encore aux mille filaments,
Et couvrir de nouveau mes arrières en ronde.