Rencontre interstellaire.
Tout est gelé, j'aime pas vraiment cet endroit, trop de rochers.
L’atmosphère si fine, et une odeur de méthane, irrespirable.
Même si Charon, ne veut pas me voir partir, c’est inévitable.
Je m’éclipse et les laisse seuls, leur observation de dualités.
Tout est trop dure, l’eau ammoniaquée, ne fait pas thalasso.
Il fait si bleu, que ni Triton, ni Proteus, ne savent quoi faire.
La chaleur du cœur, mais toujours beaucoup trop de pierres.
Je dois me rapprocher, quelque chose m’attire, vers le haut.
Il faut que j’arrête un moment de réfléchir, ou je vais rouler.
Ophélia et Bianca, vont vite chercher Obéron pour me parler.
Stéphano,Belinda, expliquaient à Ariel que je ne peux rester.
S’il vous plaît, je dois poursuivre encore, ma quête de vérité.
Je tourne en rond, sur cet Atlas géant, j’ai croisé Prométhée.
J’ai calmé Pandora, embrassé Calypso, Pan, crois moi désolé.
Mais je n’ai pas le temps de voir Téthys, ni Hélène, ni Phoebé.
Joue moi un air de flûte, tu restes à jamais, orphique et déifié.
Je dépasse Hypérion, hypéronyme hépatisé de ce fil d’Ariane.
Tout est inversé, je marche à reculons, magnétisé et phosphoré.
Il fait si rouge, Callisto est en colère, Ganiméde reste en panne.
Callirrhoe fait le synopsis d’Europe, Thémisto devient désaxé.
Mais le temps c’est l’argent, ne pouvant demeurer longuement.
Je salue Pasiphaé, et reprend ma route, tout est orangé, brillant.
Je me rapproche je le sens, quelle peur !J’ai cru voir des colons.
Ce n’était que Phobos jouant à chat avec Deimos, que d’action !
Enfin j’arrive ! La lune me salue aimablement, je sais que l’on.
M’attend, mais sur quel hémisphère ? Porté par quel vent solaire ?
Tel un météore, j’arrive et fonce sur la croûte, enfin de l’action.
Mon voyage est terminé, tellement de rencontres, et j’en suis fier.
Tout est gelé, j'aime pas vraiment cet endroit, trop de rochers.
L’atmosphère si fine, et une odeur de méthane, irrespirable.
Même si Charon, ne veut pas me voir partir, c’est inévitable.
Je m’éclipse et les laisse seuls, leur observation de dualités.
Tout est trop dure, l’eau ammoniaquée, ne fait pas thalasso.
Il fait si bleu, que ni Triton, ni Proteus, ne savent quoi faire.
La chaleur du cœur, mais toujours beaucoup trop de pierres.
Je dois me rapprocher, quelque chose m’attire, vers le haut.
Il faut que j’arrête un moment de réfléchir, ou je vais rouler.
Ophélia et Bianca, vont vite chercher Obéron pour me parler.
Stéphano,Belinda, expliquaient à Ariel que je ne peux rester.
S’il vous plaît, je dois poursuivre encore, ma quête de vérité.
Je tourne en rond, sur cet Atlas géant, j’ai croisé Prométhée.
J’ai calmé Pandora, embrassé Calypso, Pan, crois moi désolé.
Mais je n’ai pas le temps de voir Téthys, ni Hélène, ni Phoebé.
Joue moi un air de flûte, tu restes à jamais, orphique et déifié.
Je dépasse Hypérion, hypéronyme hépatisé de ce fil d’Ariane.
Tout est inversé, je marche à reculons, magnétisé et phosphoré.
Il fait si rouge, Callisto est en colère, Ganiméde reste en panne.
Callirrhoe fait le synopsis d’Europe, Thémisto devient désaxé.
Mais le temps c’est l’argent, ne pouvant demeurer longuement.
Je salue Pasiphaé, et reprend ma route, tout est orangé, brillant.
Je me rapproche je le sens, quelle peur !J’ai cru voir des colons.
Ce n’était que Phobos jouant à chat avec Deimos, que d’action !
Enfin j’arrive ! La lune me salue aimablement, je sais que l’on.
M’attend, mais sur quel hémisphère ? Porté par quel vent solaire ?
Tel un météore, j’arrive et fonce sur la croûte, enfin de l’action.
Mon voyage est terminé, tellement de rencontres, et j’en suis fier.