Le vent souffle sur mon visage
Puis chasse le terrible orage
Qui depuis seize années maintenant
Couvrait le ciel de mes sentiments.
Le soleil m'eblouie ce matin
Et nous voilà main dans la main
Mon amour, ne t'inquiete point
Ceci n'est que l'aube de notre destin...
Le ciel pur, et les gens loins à present
Nous observent, puis nous oublient.
Je crois que nous ne sommes plus de ce temps,
Maintenant, nous ne vivons plus qu'à travers cet ecrit.
Crois-tu qu'ils se souviendront de nous?
Crois-tu qu'on se souviendra d'eux?
Moi je crois juste que nous n'avons jamais exister
Puisque notre amour leur est etranger.
Un jour peut etre il comprendront
Que seuls, jamais ils ne seront...
J'eprouve de la melancolie tu sais
En pensant à leur triste destinée...
Mais il est temps de se retournée
De les oublier... de tout oublier... et de s'aimer.
Qui depuis seize années maintenant
Couvrait le ciel de mes sentiments.
Le soleil m'eblouie ce matin
Et nous voilà main dans la main
Mon amour, ne t'inquiete point
Ceci n'est que l'aube de notre destin...
Le ciel pur, et les gens loins à present
Nous observent, puis nous oublient.
Je crois que nous ne sommes plus de ce temps,
Maintenant, nous ne vivons plus qu'à travers cet ecrit.
Crois-tu qu'ils se souviendront de nous?
Crois-tu qu'on se souviendra d'eux?
Moi je crois juste que nous n'avons jamais exister
Puisque notre amour leur est etranger.
Un jour peut etre il comprendront
Que seuls, jamais ils ne seront...
J'eprouve de la melancolie tu sais
En pensant à leur triste destinée...
Mais il est temps de se retournée
De les oublier... de tout oublier... et de s'aimer.