Regards ensorcelants
A peine avec ses deux mains, elle pousse les grandes portes de la salle à manger,
Elle avance de quelques pas lents en déambulant lentement les cambres de ses reins,
Son corps élancé moulé dans sa robe mousseline rouge fendue jusqu'à sa hanche,
Laisse apercevoir la peau de l'une de ses jambes malgré ses bas de résilles noirs,
Appuyé contre un pilier, elle observe la salle s'emplir, partout son regard vagabonde,
La musique de fond lui inspire, lui permet une douce évasion sans fin vers ses rêveries,
Un doux parfum aux mélanges sucrés, fleuris et délicat qu'elle hume, s'en approche et l'enivre,
Dans l'immense salle à manger, où s'est ouvert un bal des douces lumières tamisées,
Elle regarde tout ce monde discuter, chuchoter, sourire, partager les joies d'être ensemble,
Surprise par la chaleur furtive d'une main tiède qui se pose sur son épaule,
Sur elle-même, elle se retourne, cherche d'où est venu cette agréable sensation,
Remarque un sourire se dessiner sur les lèvres d'un bel inconnu vers lequel, elle se dirige,
Il est là tout prés d'elle, la fixant presque de façon indécente essayant d'échanger quelques mots,
A la fois nerveuse et sensible à son égard, elle se sent charmée,
Sentir sa présence elle frissonne, n'étant point insensible à celui-ci ne peut seulement l'aimer,
Osant s'approcher d'elle afin de lui offrir son bras et l'invité pour une danse à demi-mots,
Lui offre un regard tendre et langoureux à celui avec qui elle aimerait au sien le mélanger,
De ses croisements de regards, son cœur s'emballe un peu trop, elle le sent, elle le craint,
Cette soirée déjà bien entamé pourrait bien se terminer en une longue nuit blanche,
Font connaissances en se rapprochant tout les deux alors que dehors, il fait déjà presque noir,
Partagent leurs chimères, leurs frissons sulfureux, ils se retrouvent sur les mêmes ondes,
Ensemble, ils s'enlacent et se confondent tendrement aux cœurs d'agréables flâneries,
Des serments d'amour susurrés dans leurs souffles courts, l'un à l'autre, ils se livrent,
Durant des minutes belles et indécentes qu'ils aimeraient voir juste pour eux s'éternisées.
A peine avec ses deux mains, elle pousse les grandes portes de la salle à manger,
Elle avance de quelques pas lents en déambulant lentement les cambres de ses reins,
Son corps élancé moulé dans sa robe mousseline rouge fendue jusqu'à sa hanche,
Laisse apercevoir la peau de l'une de ses jambes malgré ses bas de résilles noirs,
Appuyé contre un pilier, elle observe la salle s'emplir, partout son regard vagabonde,
La musique de fond lui inspire, lui permet une douce évasion sans fin vers ses rêveries,
Un doux parfum aux mélanges sucrés, fleuris et délicat qu'elle hume, s'en approche et l'enivre,
Dans l'immense salle à manger, où s'est ouvert un bal des douces lumières tamisées,
Elle regarde tout ce monde discuter, chuchoter, sourire, partager les joies d'être ensemble,
Surprise par la chaleur furtive d'une main tiède qui se pose sur son épaule,
Sur elle-même, elle se retourne, cherche d'où est venu cette agréable sensation,
Remarque un sourire se dessiner sur les lèvres d'un bel inconnu vers lequel, elle se dirige,
Il est là tout prés d'elle, la fixant presque de façon indécente essayant d'échanger quelques mots,
A la fois nerveuse et sensible à son égard, elle se sent charmée,
Sentir sa présence elle frissonne, n'étant point insensible à celui-ci ne peut seulement l'aimer,
Osant s'approcher d'elle afin de lui offrir son bras et l'invité pour une danse à demi-mots,
Lui offre un regard tendre et langoureux à celui avec qui elle aimerait au sien le mélanger,
De ses croisements de regards, son cœur s'emballe un peu trop, elle le sent, elle le craint,
Cette soirée déjà bien entamé pourrait bien se terminer en une longue nuit blanche,
Font connaissances en se rapprochant tout les deux alors que dehors, il fait déjà presque noir,
Partagent leurs chimères, leurs frissons sulfureux, ils se retrouvent sur les mêmes ondes,
Ensemble, ils s'enlacent et se confondent tendrement aux cœurs d'agréables flâneries,
Des serments d'amour susurrés dans leurs souffles courts, l'un à l'autre, ils se livrent,
Durant des minutes belles et indécentes qu'ils aimeraient voir juste pour eux s'éternisées.
