La soirée prenait fin, tout avait chaviré,
L'alcool et les pétards, la musique et les rires,
Les histoires de culs, drôles ou de vampires,
Et des zombis marchant le regard enivré,
Ils cherchaient leur chemin d'un pas court et bancal,
Et se sont heurtés là devant une vitrine,
Haletant et fuyant sous le néon citrine,
En s'échangeant surpris un regard amical,
Et leur cœur battait fort au rythme de l'enseigne,
Où les ombres dansaient dans le flash espacé,
Qui dessinait le flou de leur regard glacé,
Scrutant des yeux l’abri comme l'oiseau qui saigne,
Ils se sont blottis là dans un recoin tordu,
Un bruit sourd dans la nuit déchira le silence,
N'est ce qu'un courant d'air qui dans la rue s'élance?
Ils restèrent figés et le regard perdu,
Ou bien alors un chat qui chasse sans reproche ?
Pris de mille frissons le regard amoureux,
Comme avant de mourir d'un souffle langoureux,
Se donnant un baiser, le bruit qui se rapproche.
L'alcool et les pétards, la musique et les rires,
Les histoires de culs, drôles ou de vampires,
Et des zombis marchant le regard enivré,
Ils cherchaient leur chemin d'un pas court et bancal,
Et se sont heurtés là devant une vitrine,
Haletant et fuyant sous le néon citrine,
En s'échangeant surpris un regard amical,
Et leur cœur battait fort au rythme de l'enseigne,
Où les ombres dansaient dans le flash espacé,
Qui dessinait le flou de leur regard glacé,
Scrutant des yeux l’abri comme l'oiseau qui saigne,
Ils se sont blottis là dans un recoin tordu,
Un bruit sourd dans la nuit déchira le silence,
N'est ce qu'un courant d'air qui dans la rue s'élance?
Ils restèrent figés et le regard perdu,
Ou bien alors un chat qui chasse sans reproche ?
Pris de mille frissons le regard amoureux,
Comme avant de mourir d'un souffle langoureux,
Se donnant un baiser, le bruit qui se rapproche.
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