Tel l'aigle à la vue perçante, troublante
Survolant son monde, regard d'épouvante
Sur une vie à la fin d'un triste été.
Issus d'un printemps mal vécus, maltraité.
Je survole, fendant l'air sur ma propre vie.
Savourer les meilleurs moments d'amour, d'envie.
Il sont si peut mais si grands moments d'émotions.
Dans un monde ou le feu fais sa prestation.
Ses couleurs orange et le rouge de son sang
Font partie entière de mon esprit absent .
Absent d'amour, absent de vie ou d'émotion .
Foncer sur l'hiver sans y prendre de précaution.
Planer seul comme toujours, l'œil vif, aiguisé
Sur une vie ou un cœur loin d'être apaisé .
Tel l'aigle à la vue perçante, troublante
Survolant son monde, regard d'épouvante.
Planer en liberté sur' ma vie me fait peur
Ou sur un passé remplis d'effroi, d'horreurs
Sentiment d'un certain vécu, si foudroyant
Mon sang glace ce cœur pourtant si rougeoyant
A l'idée du bonheur, où d'un seul jour passé
Dans les bras d'un amour, au lendemain lassé
De gens, trouvant leurs seuls plaisirs coté sombre.
Je plane sur ma vie, voilant d'une ombre
Les jours gris, ou de solitude intense.
Coup porté, à ma soit disant insolence.
Que passe l'automne et laisse à l'hiver
Le seul droit de m'emporter dans son univers.
Tel l'aigle à la vue perçante, troublante.
Survolant son monde regard d'épouvante.
Survolant son monde, regard d'épouvante
Sur une vie à la fin d'un triste été.
Issus d'un printemps mal vécus, maltraité.
Je survole, fendant l'air sur ma propre vie.
Savourer les meilleurs moments d'amour, d'envie.
Il sont si peut mais si grands moments d'émotions.
Dans un monde ou le feu fais sa prestation.
Ses couleurs orange et le rouge de son sang
Font partie entière de mon esprit absent .
Absent d'amour, absent de vie ou d'émotion .
Foncer sur l'hiver sans y prendre de précaution.
Planer seul comme toujours, l'œil vif, aiguisé
Sur une vie ou un cœur loin d'être apaisé .
Tel l'aigle à la vue perçante, troublante
Survolant son monde, regard d'épouvante.
Planer en liberté sur' ma vie me fait peur
Ou sur un passé remplis d'effroi, d'horreurs
Sentiment d'un certain vécu, si foudroyant
Mon sang glace ce cœur pourtant si rougeoyant
A l'idée du bonheur, où d'un seul jour passé
Dans les bras d'un amour, au lendemain lassé
De gens, trouvant leurs seuls plaisirs coté sombre.
Je plane sur ma vie, voilant d'une ombre
Les jours gris, ou de solitude intense.
Coup porté, à ma soit disant insolence.
Que passe l'automne et laisse à l'hiver
Le seul droit de m'emporter dans son univers.
Tel l'aigle à la vue perçante, troublante.
Survolant son monde regard d'épouvante.
