l'instant d'un sursis.
Je sent bien le bord de la vie.
Comme le vide d'un coeur brisé.
Je suis resté devant ce ciel.
Faire le saut et le prendre dans les bras., sans regarder sous mes pieds si la terre tourne...
J'ai bien compter les années.
Le nombre de pleurer.
J'ai aussi trop compter les roses.
Les soupirs de voir l'amour en replis.
Les l'armes elles...viennent sans se fatiguer.
Je prends la route, mon regard dans l'ombre.
Les désespoirs en sac à dos.
Avec quoi les sentiments d'une vie s'écrit ?
Que mes prisons oublient mes saisons .
Je tiens d'un sentiment le reste du temps.
Dehors, le regard à l'étroit m'effroi ...
Je marche pour ne pas reculer.
Si devant l'air du temps ,
sans contre allée, me donne la fin de la journée.
Sans vapeur je peux bien essayer
De vouloir me regarder pour m'aimer.
Ne plus donner sécheresse à la tendresse.
Je laisserai l'espoir dans mon regard.
Même si mes yeux sentent une douleur.
Et que même si les homme pleurent.
Me dire que rien ne s'emprisonne.
Sl...
Je sent bien le bord de la vie.
Comme le vide d'un coeur brisé.
Je suis resté devant ce ciel.
Faire le saut et le prendre dans les bras., sans regarder sous mes pieds si la terre tourne...
J'ai bien compter les années.
Le nombre de pleurer.
J'ai aussi trop compter les roses.
Les soupirs de voir l'amour en replis.
Les l'armes elles...viennent sans se fatiguer.
Je prends la route, mon regard dans l'ombre.
Les désespoirs en sac à dos.
Avec quoi les sentiments d'une vie s'écrit ?
Que mes prisons oublient mes saisons .
Je tiens d'un sentiment le reste du temps.
Dehors, le regard à l'étroit m'effroi ...
Je marche pour ne pas reculer.
Si devant l'air du temps ,
sans contre allée, me donne la fin de la journée.
Sans vapeur je peux bien essayer
De vouloir me regarder pour m'aimer.
Ne plus donner sécheresse à la tendresse.
Je laisserai l'espoir dans mon regard.
Même si mes yeux sentent une douleur.
Et que même si les homme pleurent.
Me dire que rien ne s'emprisonne.
Sl...
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