Rapprochant apesanteur
Pose tes mains sur mes hanches,
Vois-tu l'étincelle dans mes yeux ?
Elle t'invite pour une nuit blanche,
Goûter l'élixir scandaleux.
Coupant le silence à la hache,
Ce que je vois n'est scandaleux,
Que pour l'étroit ou pour le lâche,
Et tant de questions au milieu.
Je dévoile mes courbes, fébriles,
Laissant glisser la fine étoffe,
Sur l'écorce, féline et habile,
De mes atours limitrophes.
Je vois que tu te défibrilles,
Il me faut faire le bouche à bouche,
Je prends l'air en solaires fibrilles,
Et de mes lèvres je te touche.
À l'encolure nue de mon cou,
Comme le souffle d'un zéphyr,
Filant sur ma peau, je prends goût,
De tes baisers, je m'en inspire.
Elle a les yeux telle une biche,
Et tout ce sang qui bat si fort,
Il manque un pas à l'hémistiche,
Pour que l'on découvre un trésor.
Il a les yeux en étincelle,
Et le coeur pur en battement,
Je lui fait savourer le miel,
De mon élixir, tendrement.
Phoeube, Matthale ©(02/06/2018)
Pose tes mains sur mes hanches,
Vois-tu l'étincelle dans mes yeux ?
Elle t'invite pour une nuit blanche,
Goûter l'élixir scandaleux.
Coupant le silence à la hache,
Ce que je vois n'est scandaleux,
Que pour l'étroit ou pour le lâche,
Et tant de questions au milieu.
Je dévoile mes courbes, fébriles,
Laissant glisser la fine étoffe,
Sur l'écorce, féline et habile,
De mes atours limitrophes.
Je vois que tu te défibrilles,
Il me faut faire le bouche à bouche,
Je prends l'air en solaires fibrilles,
Et de mes lèvres je te touche.
À l'encolure nue de mon cou,
Comme le souffle d'un zéphyr,
Filant sur ma peau, je prends goût,
De tes baisers, je m'en inspire.
Elle a les yeux telle une biche,
Et tout ce sang qui bat si fort,
Il manque un pas à l'hémistiche,
Pour que l'on découvre un trésor.
Il a les yeux en étincelle,
Et le coeur pur en battement,
Je lui fait savourer le miel,
De mon élixir, tendrement.
Phoeube, Matthale ©(02/06/2018)
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