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rappelles toi : Le con qui boite poétique,

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#1
Le con qui boite poétique,

La nuit l’expose à ses plus gourdes fariboles
Seul ma sœur se débat pour vendre, et sous venir,
J’entaille de ma boîte poétique, revient comme une mer de babioles,
Une grande chanceuse est l’étoile qui détourne et survole mes loisirs.


Il me parvient, ce cadeau bien présentable,
Celui qui gerce tant de jours et mon destin,
Elle conte mes dires et décompte mes vagues,
Quand mon arôme dérouille tous ses chagrins.


Elle a l'avantage et j’en présentes l’intrigue,
Son contour émerveille tout mon étui de tendresse,
Mais des faits, tu t’enfuis en soie douce d’une figue,
Vers les vieux en chanteurs qui carillonnent et compressent.


Je décèle tes regrets, tes pensées, tes peurs enfumées,
Tout ce qui s'enfuit du profond de toi, peste à enlever,
Les riens les moins soucieux pour fait d'humour, d’écrits moroses,

Tout ce que je prédit toujours, pour que l’ami un jour en impose.
 

lilasys

Maître Poète
#2
Tout en poésie, tout en talent , je lis les mains clouées , je veux juste sourire et t'écouter ......

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lilasys

Maître Poète
#3
La clef ne trouve serrure

Le jour explose en mille farandoles
Les artistes ne peuvent que se souvenir
des tailles crayons jouant les idoles
Sous doigts, les crayons usés pour l'avenir

Je n'ai que deux mains insatiables
Elle balancent tout les serpentins
La fête en sourdine est ce fiable?
le psyché apprivoise le mauvais teint

L'avant et l'après comme une digue
Retient les eaux dans sa caresse
Les méfaits ont l'orgueil du prodigue
Mais elle retient le danger en mère sagesse

Les amis sont soucieux! Ont-ils fumé?
Le lieu est silencieux là où on pose la rose
Cette terre bariolée de pissenlits, de camé

Le cœur à ce jour doucement se pose ......

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luron1er

Administrator
Membre du personnel
#4
Tu vois, ça marche, le pastiche du pastiche qui est déjà un pastiche....
un petit rappel du 1er texte :
Le son d'une boîte à musique.
La nuit ne pose plus mes lourdes paupières
Seul mon cœur bat Ô tendres souvenirs
J’entrebâille la boîte à musique ce lien avec ma mère
Et la petite danseuse étoile tourne et vole mes soupirs

Je me souviens de ce présent qui est inestimable
Celui qui berce tant de joies et tant de chagrins
Elle compte les rires , elle conte des blagues
Quand la mélodie s'enrouille à mi chemin

Elle a pris de l'âge et je ressens sa fatigue
Le velours vermeil de ce coffret n'est plus de toute jeunesse
Mais il fait que me nuits soient douces et naviguent
Vers ces lieux enchanteurs qui sommeillent Ô tristesse

Elle recèle mes secrets , une lettre , une fleur parfumée
Tout ce qui s'enfouit au fond de soi reste éveiller
Les biens les plus précieux fait d'amour ; d'ecchymoses
Tout ce qui ne se dit jamais ,seul le cœur un jour en dispose

LILASYS (2014)