En cherchant des amorces d'acrostiches un peu spéciales, qui m'auraient permis de faire des sonnets, j'ai eu deux idées absolument catastrophiques. Mais malgré leur peu d'intérêt je les ai notées quand même. Quelques temps plus tard j'ai remarqué que les deux pouvaient se répondre et mon imagination a été titillée. Voici donc le résultat : deux acrostiches débiles sous forme de sonnets racontant un fait très divers teinté d'humour.
1ère partie :
Je lui déclame mon sonnet !
Tu as des qualités que beaucoup d'autres filles
Rêveraient d'exhiber dans les soirées mondaines
Et tes yeux sont si beaux que je t'offre ma vie
Sans chercher le pourquoi : c'est une envie soudaine.
Buvons à cet amour que les dieux nous destinent
En regardant le jour décliner sur la mer.
Avachis-toi sur moi, ma belle clandestine,
Un rêve se dessine à nous, doux et sincère.
Tous deux nous irons voir chuter la Niagara,
Ou même, si tu veux, toucher le nirvana !
Ne retiens plus ton cœur : Aime-moi tendrement.
Ci-devant, vois la vie qui nous promet des joies !
Une opportunité unique nous attend;
Le sort l'a décidé : ce sera toi et moi !
2ème partie :
Elle me coupe le sifflet !
Si le temps n'avait pas, en d'autres occasions,
Attiré de goujats auprès de moi, mon cher,
Le charme de vos mots aurait, de ma raison,
Eut raison : de cela vous pouvez être fier.
Grande soit votre peine : une femme avisée
Reconnaît la rengaine entendue tant de fois.
Oh, c'était bien flatteur, mais vous vous enlisiez :
Sachez lever les yeux et adoucir la voix.
Car parler à mon cœur en posant le regard
Où ma robe s'évase, est digne d'un tocard.
Noyez donc ce râteau : au bar, le gin est bon.
Ne vous approchez plus de ma table, poseur,
Un faux pas et j'appelle illico le patron;
Le videur sera fou de votre joli cœur !
11.02.09
1ère partie :
Je lui déclame mon sonnet !
Tu as des qualités que beaucoup d'autres filles
Rêveraient d'exhiber dans les soirées mondaines
Et tes yeux sont si beaux que je t'offre ma vie
Sans chercher le pourquoi : c'est une envie soudaine.
Buvons à cet amour que les dieux nous destinent
En regardant le jour décliner sur la mer.
Avachis-toi sur moi, ma belle clandestine,
Un rêve se dessine à nous, doux et sincère.
Tous deux nous irons voir chuter la Niagara,
Ou même, si tu veux, toucher le nirvana !
Ne retiens plus ton cœur : Aime-moi tendrement.
Ci-devant, vois la vie qui nous promet des joies !
Une opportunité unique nous attend;
Le sort l'a décidé : ce sera toi et moi !
2ème partie :
Elle me coupe le sifflet !
Si le temps n'avait pas, en d'autres occasions,
Attiré de goujats auprès de moi, mon cher,
Le charme de vos mots aurait, de ma raison,
Eut raison : de cela vous pouvez être fier.
Grande soit votre peine : une femme avisée
Reconnaît la rengaine entendue tant de fois.
Oh, c'était bien flatteur, mais vous vous enlisiez :
Sachez lever les yeux et adoucir la voix.
Car parler à mon cœur en posant le regard
Où ma robe s'évase, est digne d'un tocard.
Noyez donc ce râteau : au bar, le gin est bon.
Ne vous approchez plus de ma table, poseur,
Un faux pas et j'appelle illico le patron;
Le videur sera fou de votre joli cœur !
11.02.09