Qui es-tu ma sœur ?
Tu es ample sous les maux qui te formalisent,
Tous unis en vers, un régal fait d'armes langoureuses,
Et tu développes sans aucune méprise,
Pour me taire, c’est une adversité des plus fabuleuse.
Je suis cet immense gouffre qui fredonne comme une poire,
Chaque soir pour me coucher et rêvasser aux fous noirs,
Je suis le déclin qui brûle tel un hayon de vermeil sans appui,
Un voile renseigné qui chaque nuit ratisse mes envies.
Je suis comme un gosse en sourires pour l’enjeu de mes tempes,
Celles que je gerce sous les banalités de ma trempe,
C’est un pluriel singulier pour un con jugé en un instant,
D’une grand mère qui dérape sur le passé si souvent.
Je suis cette danse aux quatre vents qui te réconforte,
Quand à votre réveil, je déroule un tapis de la sorte,
Je suis ce plaisir d’infortuné qui délivre l’expo,
Comme un esprit qui pullule en un frêle dépôt.
Je suis ce qui résonne et veut saisir les cartes de l'orgue,
Un intérêt pour quelques uns qui surviennent pour revoir ma morgue,
Je suis ce qui surpasse les p’tits devins sans prestance,
Cet humanoïde en dépôt qui redresse un peu la France.
Je suis toujours inconnu dans le noir,
Je suis là, on ne saurait m’avoir
Tu es ample sous les maux qui te formalisent,
Tous unis en vers, un régal fait d'armes langoureuses,
Et tu développes sans aucune méprise,
Pour me taire, c’est une adversité des plus fabuleuse.
Je suis cet immense gouffre qui fredonne comme une poire,
Chaque soir pour me coucher et rêvasser aux fous noirs,
Je suis le déclin qui brûle tel un hayon de vermeil sans appui,
Un voile renseigné qui chaque nuit ratisse mes envies.
Je suis comme un gosse en sourires pour l’enjeu de mes tempes,
Celles que je gerce sous les banalités de ma trempe,
C’est un pluriel singulier pour un con jugé en un instant,
D’une grand mère qui dérape sur le passé si souvent.
Je suis cette danse aux quatre vents qui te réconforte,
Quand à votre réveil, je déroule un tapis de la sorte,
Je suis ce plaisir d’infortuné qui délivre l’expo,
Comme un esprit qui pullule en un frêle dépôt.
Je suis ce qui résonne et veut saisir les cartes de l'orgue,
Un intérêt pour quelques uns qui surviennent pour revoir ma morgue,
Je suis ce qui surpasse les p’tits devins sans prestance,
Cet humanoïde en dépôt qui redresse un peu la France.
Je suis toujours inconnu dans le noir,
Je suis là, on ne saurait m’avoir
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