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Questions de chaleurs nature

Polymnie2

Maître Poète
#1
Questions de chaleurs nature
L’hiver 2018 et 2021
s’élève

Un contagieux hasard se pressant d’être là
S’acharnant dans la maison et gèle la sève
Quatre degrés dedans ne freinant rénégats
Jusqu’à deux degrés cette année-là s’élèvent !

C’était début janvier 2021

Lorsque larmes naissaient dans l’océan des yeux
Les perles de l’âme à l’horizon nacreux
Traçant sur la joue en rives et en creux
Des sillons silencieux qui parlent sous les cieux !

Sensibilité à fleur de peau remue
Le chaud du cœur sortit transpire un chaud sur froid
En cet hiver fait d’orties arrivent les engelures
Sur la chair aux nuitées dans la voiture dort froid !

Les autres années sont les mêmes recueillies
On s’y habitue, on ne les aime sans amertume
Mais une autre controverse est fleur cueillie
Renverse un sablier le froid sur chaud s’allume

Le visage est entièrement anesthésié*
Je me couche, avec nouvelle couverture
Offerte par ma « fille » en dernier choix crié
« Tu verras tu n’auras plus froid en ta nature »!

Je devais être fièvreuse sur moi je l’ai posée !
Je me suis endormie heureuse me suis réveillée
Marie a raison, cet « édredon » me brûle
Mais non, bien réveillée c’est ma température !

Qui réchauffait ce plaid dont l’envers restait froid !
Cela n’a pas changé l’inhumanité-prés
Ni la fraternité ni la liberté loin
Malade ou pas curetage de l’âme d’orfroi

De loin, de près, les ultra smartphones actionnent
Savent le curetage en gencives et extraction
De deux dents appellent un repos évident !
Ils savent comment épuiser l’homme à néant !

Ce ne sont pas des êtres mais des fauves puissants
Qui ne connaissent rien sinon montrent les dents
Force sur les décibels du four crématoire
Qui ne cesse de flamber en réquisitoire !


Polymnie2, ce 13 juin 2021

  • Anesthésiée chez le dentiste avec effets secondaires
  • Alors qu’un monde m’épiait et me parlait
  • Sans gêne voyait tout !


 
#2
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Bonjour Chère Poly,

Quand on souffre on a froid même en plein soleil
Le mal de dents équivaut au mal d'Amour dit-on !
Les effets secondaires écrivent les plus beaux vers

Et si tu t'allongeais sur le hamac du regard
C'est l'heure bleue dans le jardin *sourire*

Douceurs sur ta journée
Je t'embrasse

Paule​
 

kinkin

Maître Poète
#3
Le réchauffement climatique n'est pas comme les antibiotiques automatiques bravo Poly toujours un plaisir de lire tes péripéties amicalement Kinkin
 

Polymnie2

Maître Poète
#5
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Bonjour Chère Poly,

Quand on souffre on a froid même en plein soleil
Le mal de dents équivaut au mal d'Amour dit-on !
Les effets secondaires écrivent les plus beaux vers

Et si tu t'allongeais sur le hamac du regard
C'est l'heure bleue dans le jardin *sourire*

Douceurs sur ta journée
Je t'embrasse

Paule​

Ma mère disait, lorsqu'on lui demandait
Accoucher est-ce si douloureux que ça
Je ne peux pas exactement te le dire
C'est comme le mal aux dents
Il faut avoir mal à nouveau
pour s'en souvenir!

La position repos je ne l'ai jamais eue
il faut toujours que je m'occupe
c'est plus fort que moi!
Sauf à la plage avec livres
ou mots croisés!

Merci à toi, bises, Poly​
 

Polymnie2

Maître Poète
#6
Le réchauffement climatique n'est pas comme les antibiotiques automatiques bravo Poly toujours un plaisir de lire tes péripéties amicalement Kinkin
C'était l'anesthésie marquée les
lèvres encore paralysées
lourde fatigue
parmi le chahut destiné tout fort
dedans, provenant des rues!
Repas mixé avec paille!

Merci kinkin pour ce partage
Avec mes amitiés, Poly​
 
#8

Ma mère disait, lorsqu'on lui demandait
Accoucher est-ce si douloureux que ça
Je ne peux pas exactement te le dire
C'est comme le mal aux dents
Il faut avoir mal à nouveau
pour s'en souvenir!

La position repos je ne l'ai jamais eue
il faut toujours que je m'occupe
c'est plus fort que moi!
Sauf à la plage avec livres
ou mots croisés!

Merci à toi, bises, Poly​
Bonjour Poly,

J'Adore la réponse de ta maman, seul compte le bonheur de bercer son enfant *sourire*
Quant à tes dents j'espère que tu vas mieux , que la douleur s'est endormie

Merci pour ton coup de coeur çà me touche intérieurement,

Muse et Poétesse Douceurs sur ta journée

Je t'embrasse de Poésie

Paule

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