Quel Pays ?????????
Je ne vis pas pour vivre, je prends des ascenseurs,
Je vis pour exister, hors de l'apesanteur,
Je monte ou je descends, au grès des aléas,
Mais j'ai toujours chaud, et j'évite le froid.
Personne ne décide, d'être ici ou ailleurs,
Porter des bas résille, ou encore des tailleurs,
Je cherche le relent, qui décompte mes pas,
Je partirais bientôt, sûrement le Canada.
Pour cause l'équité, d'un Pays franchisé,
Et je disparaîtrais, Je n'ai jamais aimé,
Comment la société, sans parents m'a élevée.
Alors je la hais, même si je comprends mais...
La vie se fera rude ici, trop chaud pour moi,
Alors je filerais, voir un Climat meilleur,
Quatre degrés de plus, ça fait très peur,
Je filerais à l'Anglaise, dans un Pays François,
Et si il n'y avait que ça, Je vais décider pour moi,
Je veux un chien l'année, et un chat pour les rats,
Partager mes produits avec mes voisins.
De la tomate, du raisin, et du bon vin.
La France me rend amère, et déjeune l'ouvrier,
L'Oligarchie poursuit, et manipule le monde,
C'est ridicule, nous sommes enchaînés,
La France est mourante, de par l'absconde.
Ils vous diront : mourrez que je ne meurt !
Combien se jetteront au brûlot, Pathétique,
Révolution fut belle, mais inutile éthique,
Pays qui me tendent les bras, attendez l'heure !
Je ne vis pas pour vivre, je prends des ascenseurs,
Je vis pour exister, hors de l'apesanteur,
Je monte ou je descends, au grès des aléas,
Mais j'ai toujours chaud, et j'évite le froid.
Personne ne décide, d'être ici ou ailleurs,
Porter des bas résille, ou encore des tailleurs,
Je cherche le relent, qui décompte mes pas,
Je partirais bientôt, sûrement le Canada.
Pour cause l'équité, d'un Pays franchisé,
Et je disparaîtrais, Je n'ai jamais aimé,
Comment la société, sans parents m'a élevée.
Alors je la hais, même si je comprends mais...
La vie se fera rude ici, trop chaud pour moi,
Alors je filerais, voir un Climat meilleur,
Quatre degrés de plus, ça fait très peur,
Je filerais à l'Anglaise, dans un Pays François,
Et si il n'y avait que ça, Je vais décider pour moi,
Je veux un chien l'année, et un chat pour les rats,
Partager mes produits avec mes voisins.
De la tomate, du raisin, et du bon vin.
La France me rend amère, et déjeune l'ouvrier,
L'Oligarchie poursuit, et manipule le monde,
C'est ridicule, nous sommes enchaînés,
La France est mourante, de par l'absconde.
Ils vous diront : mourrez que je ne meurt !
Combien se jetteront au brûlot, Pathétique,
Révolution fut belle, mais inutile éthique,
Pays qui me tendent les bras, attendez l'heure !
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