On vit dans une société de cons sans sommations qui vit de surconsommations.
L’exotisme dans le temps et dans l’espace répond à une tendance vigoureuse de notre cœur.
Il paraît difficile et même impossible d’établir une équation entre le "dehors" et le "dedans" de nous mêmes et surtout de vouloir expliquer l’âme par le corps et la matière.
Seule la poésie à fleur de terre émeut plus sûrement que tout autre. Avoir le génie du naturel nous élever sans effort à la générosité sublime où s’affinent le sens de l’idéal, celui de la beauté et du bien.
Il faut savoir créer la vision poétique, pour fuir le présent et sa prose inévitable.
Comme à son époque la royauté, la république souffre d’une dégénérescence aggravée des primates qui la dirigent.
Poètes, vos vers charment mes yeux et leur mélodie parle directement à mon âme sa langue divine.
Je suis un spécialiste du sonnet alambic je distille les vers, après fermentation je fais pétiller la mousse près des corbières.
La culture humaine avide, que l’on monte en cathédrale me donne le vertige tant elle s’appuie sur le vide depuis la clarté des temps!.
Tout ce qui dépasse dans la vie du cœur, dans l’action ou la pensée, le niveau ordinaire et moyen, relève directement de la poésie.
Le temps va trop vite au gré des uns, trop lentement au gré des autres, pour beaucoup de malheureux il ajourne toujours le bonheur ou le refuse.
Seuls les poètes arrivent à émouvoir en nous la fibre de la pitié, cette petite fleur du sentiment.
Le poème doit naître d’une idée portée par un récit, cette idée doit avoir une âme, le récit un corps, et l’un et l’autre sont inséparables.
Seule la poésie à fleur de terre émeut plus sûrement que tout autre. Avoir le génie du naturel nous élever sans effort à la générosité sublime où s’affinent le sens de l’idéal, celui de la beauté et du bien.
Les riches n’ont jamais donné leur superflu aux pauvres qui les enrichissent ils sont bien trop avares!.
Je divague...
Mes yeux ont formé la vague au rayon vert couchant, soumis aux vents mauvais mon regard s’est lentement éteint, puis a fini par sombrer où l’océan à l’horizon chargé de lourdes larmes au goût amer se fige puis s’étend.
Entre ciel et mer, vers l'ultime rayon nous voguons, poussières d'étoiles, nous avons vénéré dans un premier temps le soleil créateur éternel, lui rendre à nouveau un flamboyant hommage, est un retour naturel aux sources où sont ancrées les racines profondes de l’humanité.
L’exotisme dans le temps et dans l’espace répond à une tendance vigoureuse de notre cœur.
Il paraît difficile et même impossible d’établir une équation entre le "dehors" et le "dedans" de nous mêmes et surtout de vouloir expliquer l’âme par le corps et la matière.
Seule la poésie à fleur de terre émeut plus sûrement que tout autre. Avoir le génie du naturel nous élever sans effort à la générosité sublime où s’affinent le sens de l’idéal, celui de la beauté et du bien.
Il faut savoir créer la vision poétique, pour fuir le présent et sa prose inévitable.
Comme à son époque la royauté, la république souffre d’une dégénérescence aggravée des primates qui la dirigent.
Poètes, vos vers charment mes yeux et leur mélodie parle directement à mon âme sa langue divine.
Je suis un spécialiste du sonnet alambic je distille les vers, après fermentation je fais pétiller la mousse près des corbières.
La culture humaine avide, que l’on monte en cathédrale me donne le vertige tant elle s’appuie sur le vide depuis la clarté des temps!.
Tout ce qui dépasse dans la vie du cœur, dans l’action ou la pensée, le niveau ordinaire et moyen, relève directement de la poésie.
Le temps va trop vite au gré des uns, trop lentement au gré des autres, pour beaucoup de malheureux il ajourne toujours le bonheur ou le refuse.
Seuls les poètes arrivent à émouvoir en nous la fibre de la pitié, cette petite fleur du sentiment.
Le poème doit naître d’une idée portée par un récit, cette idée doit avoir une âme, le récit un corps, et l’un et l’autre sont inséparables.
Seule la poésie à fleur de terre émeut plus sûrement que tout autre. Avoir le génie du naturel nous élever sans effort à la générosité sublime où s’affinent le sens de l’idéal, celui de la beauté et du bien.
Les riches n’ont jamais donné leur superflu aux pauvres qui les enrichissent ils sont bien trop avares!.
Je divague...
Mes yeux ont formé la vague au rayon vert couchant, soumis aux vents mauvais mon regard s’est lentement éteint, puis a fini par sombrer où l’océan à l’horizon chargé de lourdes larmes au goût amer se fige puis s’étend.
Entre ciel et mer, vers l'ultime rayon nous voguons, poussières d'étoiles, nous avons vénéré dans un premier temps le soleil créateur éternel, lui rendre à nouveau un flamboyant hommage, est un retour naturel aux sources où sont ancrées les racines profondes de l’humanité.
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