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Quatre vingt dix Printemps

iboujo

Maître Poète
#1
De bon matin,le réveil vient de sonner ,
Il annonce mes nonante Printemps,
Avait,- il besoin de me réveiller,
Doutant de ce jour comme un ouragan.

Je garde le souvenir des belles années,
Toujours présentes, et hier j'avais un avenir ,J'envisageais des projets les voyant aboutir
La jeunesse, a ce droit d'imaginer de rêver

Nous étions jeunes et un peu fous
Prêts à faire le tour de moult évasions,
N'avions- nous pas la Vie devant nous?
Pour naviguer sur l'océan des illusions.

De ces folles années , nous ne pensions pas aux misères,
J'en conserve les moments heureux,
Quand nous vivions dans la chaumiere
Avec des amis ou en couple amoureux

Aujourd'hui ,je caresse des mains la vieillesse,
Je m'occupe , ne restant sans rien faire
Je demande au temps de ralentir sa vitesse,
Et pour aller là-bas haut ,que souffle le vent contraire.
 
Dernière édition:

Polymnie2

Maître Poète
#3
Merci
Poly
Merci Ray
Pour vos passages
Belle rétrospection
que filtre notre esprit
remontant le temps
et laisse sur nos lèvres un
"Déjà", il y a fort longtemps"

Mais combien encore on construit
de nos mains, le cœur réjouit,
de beaux rêves gardés que la
vie nous fabrique sur mesure!

Plein de tendresse ce regard
que tu gardes confiant!

Bises Ma Jojo, Poly
 
Dernière édition:

Vega46

Maître Poète
#6
Je te croyais plus jeune ! ".Ô temps suspens ton vol et vous heures propices suspendez votre cours laissez savourer les rapides délices des plus beaux de nos jours"...

Tu n'écris pas trop mal encore pour ton âge la voix tremble mais la main reste agile...

Bises Momo Clochard
 

Philaly

Maître Poète
#8
Même à quatre vingt dix ans, demander au temps de ralentir sa vitesse : c'est qu'on aime la vie, quand bien-même, elle ne nous aurait pas que gâté !
On vieillit grave quand on s'arrête de rêver...alors, rêve éveillée, et couche sur papier tes souvenirs de jeunesse, tes espoirs d'avenir, tes bonheurs présents.
Bisous ma mamounette