Quand se succèdent les années
au rythme des quatre saisons !
Thème nature, les êtres!
au rythme des quatre saisons !
Thème nature, les êtres!
Il pleut dehors et larmes
En feu saignent mon corps
Tout est parfum, désarme
Et en chacun le cor !
Que dire ? faire ?
Pensées « s’enlarment »!
En feu saignent mon corps
Tout est parfum, désarme
Et en chacun le cor !
Que dire ? faire ?
Pensées « s’enlarment »!
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J’ai rêvé d’un monde
Bien assis sur vertu
Avec une Âme universelle chargée d’amour
Invitant l’être, chacun, au partage en la nature
Révisant les lois !
Or, transgresse l’homme têtu!
Quand est-ce que vous finirez d’ajouter
Des sévices sur des herbes folles
Au lieu de clôturer dehors
Des maux qui blessent entêtés,
labourant mes chants
En champs de batailles
De slogans aux malheureux uniformes ?
Fabricant une aile à la haine
Au lieu de vous occuper
En cette prise de la Bastide
De saint lys, ajouter vos griffes
Et vos vapeurs délinquantes
A vos âges s’efface tout ton amical
Mais l’haleine assoiffée
Sur la bouche, vos lèvres,
Ne prie jamais à l’assiettée !
Sans jamais respirer cette aurore
Mais l’aub’épine cette ronce pour nourrir
Vos chants de désamour toujours
Assoiffés de mère de vin, de cidre
Où le vinaigre fait maison !
J’ai rêvé d’un monde
Bien assis sur vertu
Avec une Âme universelle chargée d’amour
Invitant l’être, chacun, au partage en la nature
Révisant les lois !
Or, transgresse l’homme têtu!
Quand est-ce que vous finirez d’ajouter
Des sévices sur des herbes folles
Au lieu de clôturer dehors
Des maux qui blessent entêtés,
labourant mes chants
En champs de batailles
De slogans aux malheureux uniformes ?
Fabricant une aile à la haine
Au lieu de vous occuper
En cette prise de la Bastide
De saint lys, ajouter vos griffes
Et vos vapeurs délinquantes
A vos âges s’efface tout ton amical
Mais l’haleine assoiffée
Sur la bouche, vos lèvres,
Ne prie jamais à l’assiettée !
Sans jamais respirer cette aurore
Mais l’aub’épine cette ronce pour nourrir
Vos chants de désamour toujours
Assoiffés de mère de vin, de cidre
Où le vinaigre fait maison !
Vous parlez de ma famille
Comme si vous étiez né chez nous,
Faisant revivre le calvaire
En leur monde la Paix !
Vous vous rassurez
Pourvu d'autres mains
Faisant des passassions de pouvoir!
Alors que deux mains sont déjà en plainte?
Sans Elles vous ne pouvez rien faire
Ni copier mes écrits chaque matin!
Depuis plus d'un mois, je n'ai fait
Que brouillons rétrécits
Car toujours les mêmes mots pétris!
Vous désirez une dispute entre voisins
Pour faire votre procès en vos passassions de pouvoirs!
Les habitants ne sont pas ivoiriens mais aux abois
Ne désirant, comme moi, qu'une fin
Ne demandant plus à boire
Un élexir de vos désirs!
Ne plus me voir ici,
Me tuer en vulgaire ignominie
comme du reste Dominique
jusqu'à l'usure!!
En ces instants où se formulent
les difficultés ici et à l'extérieur
bousculant tous êtres dans leur quotidien
chacun puise l'effort du partage!
Chacun doit porter sa croix
qu'importe laquelle!
Alors que vous rigolez du soir au matin
avec Dominique
vous rabâchez un parcoeur intransmissible
privé intime, avec combien de faux
dans l'original versé!
Comme si vous étiez né chez nous,
Faisant revivre le calvaire
En leur monde la Paix !
Vous vous rassurez
Pourvu d'autres mains
Faisant des passassions de pouvoir!
Alors que deux mains sont déjà en plainte?
Sans Elles vous ne pouvez rien faire
Ni copier mes écrits chaque matin!
Depuis plus d'un mois, je n'ai fait
Que brouillons rétrécits
Car toujours les mêmes mots pétris!
Vous désirez une dispute entre voisins
Pour faire votre procès en vos passassions de pouvoirs!
Les habitants ne sont pas ivoiriens mais aux abois
Ne désirant, comme moi, qu'une fin
Ne demandant plus à boire
Un élexir de vos désirs!
Ne plus me voir ici,
Me tuer en vulgaire ignominie
comme du reste Dominique
jusqu'à l'usure!!
En ces instants où se formulent
les difficultés ici et à l'extérieur
bousculant tous êtres dans leur quotidien
chacun puise l'effort du partage!
Chacun doit porter sa croix
qu'importe laquelle!
Alors que vous rigolez du soir au matin
avec Dominique
vous rabâchez un parcoeur intransmissible
privé intime, avec combien de faux
dans l'original versé!
Qu’importe l’odeur furibonde
En nos jardins fait décor
Nous ne sommes pas encore
Le quartier Sale, Pétrit hier
Mais bien village de la Paix, trie,hier !
Aux visages de Saints Lys
Et de Richelieu !
En nos jardins fait décor
Nous ne sommes pas encore
Le quartier Sale, Pétrit hier
Mais bien village de la Paix, trie,hier !
Aux visages de Saints Lys
Et de Richelieu !
Leur sérénité n’avait qu’une couverture
Celle du respect à chaque citoyen
Sans aucun bruit en désaccord
C’était l’ouverture mitoyenne
De chacun sans haine et sans reproches !
Qu'en est-il à cette heure
depuis l'année, pour moi, 2018
fini le tendre bonheur!
alors que parait-il depuis 2015 au moins
le chemin de Dominique
est préparé antérieurement
et pour moi, depuis des années, 2012
et même avant selon les sources usitées!
Celle du respect à chaque citoyen
Sans aucun bruit en désaccord
C’était l’ouverture mitoyenne
De chacun sans haine et sans reproches !
Qu'en est-il à cette heure
depuis l'année, pour moi, 2018
fini le tendre bonheur!
alors que parait-il depuis 2015 au moins
le chemin de Dominique
est préparé antérieurement
et pour moi, depuis des années, 2012
et même avant selon les sources usitées!
Aujourd’hui une clé ferme à double tour
Les lèvres de chacun
Car une seule voix s’élève dans les airs
Pour le moulin les grains s’égrènent !,
Les journées, les nuits,
Sont farcis d’impuretés racontant votre réglisse
Ignorant le délice !
en un mélange de fantaisies couvrant l'atmosphère
d'un bruit de fond à plusieurs voix,
et celui, l'indigne, imitant le feu
des corps incinérés
en leur début
Celui qui nous faisait patienter
dehors, que le corps soit en cendres!
Un impossible à saisir
Mon toit est mal placé pour moi,
mais unique pour vous
car dans toutes les pièces
se trouvent concentré ce courant l'espace!
Tel un poids s'appuie sur moi
Lorsque vous enfumez ma tête, mes oreilles
avec les dents serrées
je dois subir, sans broncher
ce qui semble s'éclater!
Les lèvres de chacun
Car une seule voix s’élève dans les airs
Pour le moulin les grains s’égrènent !,
Les journées, les nuits,
Sont farcis d’impuretés racontant votre réglisse
Ignorant le délice !
en un mélange de fantaisies couvrant l'atmosphère
d'un bruit de fond à plusieurs voix,
et celui, l'indigne, imitant le feu
des corps incinérés
en leur début
Celui qui nous faisait patienter
dehors, que le corps soit en cendres!
Un impossible à saisir
Mon toit est mal placé pour moi,
mais unique pour vous
car dans toutes les pièces
se trouvent concentré ce courant l'espace!
Tel un poids s'appuie sur moi
Lorsque vous enfumez ma tête, mes oreilles
avec les dents serrées
je dois subir, sans broncher
ce qui semble s'éclater!
Je suis la Case, la pute de Saint-lys
Confirmée à la salle « dévote » !
Que m’importe cette envergure
Car je n’ai qu’une signature !
Celle d’un chapelet
Sans haine et
Sans reproche !
Vive la liberté! Fraternité! Humanité !
Confirmée à la salle « dévote » !
Que m’importe cette envergure
Car je n’ai qu’une signature !
Celle d’un chapelet
Sans haine et
Sans reproche !
Vive la liberté! Fraternité! Humanité !
Polymnie2, ce 26 mars 2020
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