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Quand Les Coeurs Battent Ensemble

#1



Quand Les Coeurs Battent Ensemble


Le gris s’unit Lierre, puisque je suis, je meurs où je m'accroche,
Quelle épreuve que soit, sa couleur belle ou moche
N’empêchera mon corps tendre mais surtout chêne
De choyer mon sarment médusé sur la haine !​

Car en fleurs ma pensée au-dessus de mes craintes
Largue le fol espoir en corolles ses ailes
Et si l’olifant geint mon cor force mes veines
En souffle court et lent pour parler mon haleine* !​

Ce pur sang coule à flots partout et sur la Seine
Mes entrailles se glacent deviennent intestin, grêle
La vie frêle en grelots hors
Nature voulue​

Seul témoin bien vivant pleure son révolu !
N’empêchera mon corps offensé restant chêne
De choyer mon sarment sur forces qui me gênent
Car le fond de la source jamais ne se dessèche

Les grêlons de misère ouvrent en moi ses mystères !
Ma plume ne délire vêt sa peau de chagrin
Pour Toi l’écrin d’émois sur nous ensemble unis
Et l’immortelle emblème, en cet Amour repeint,​

Dans nos forces armées s’abaisse et communie
Se met en joug toujours pour le pire et meilleur !
Et dans l’Amour suprême aucun mot ne détonne
L'alarme qui suit vit crée arme de défense​

Je déploierai mes zèles en sage sans défiance,
Chez-nous signe l’espoir et son écho résonne !
Le chant d’espérance ouvre enfin son doux recueil
Le ferme avec le cœur ancré entre deux mains.​

Polymnie, le 20 Novembre 2015 *​

Dans le texte = mes pensées.
L'Homme est la parure de la Nature
Aujourd'hui je peux ajouter : "Qu'as-tu fait de son costume"?​

polymnie2 ce 17 novembre 2O23
Poème posté le 22/11/15
 
Dernière édition:
#16



Quand Les Coeurs Battent Ensemble


Le gris s’unit Lierre, puisque je suis, je meurs où je m'accroche,
Quelle épreuve que soit, sa couleur belle ou moche
N’empêchera mon corps tendre mais surtout chêne
De choyer mon sarment médusé sur la haine !​

Car en fleurs ma pensée au-dessus de mes craintes
Largue le fol espoir en corolles ses ailes
Et si l’olifant geint mon cor force mes veines
En souffle court et lent pour parler mon haleine* !​

Ce pur sang coule à flots partout et sur la Seine
Mes entrailles se glacent deviennent intestin grêle
La vie frêle en grelots hors
Nature voulue​

Seul témoin bien vivant pleure son révolu !
N’empêchera mon corps offensé restant chêne
De choyer mon sarment sur forces qui me gênent
Car le fond de la source jamais ne se dessèche

Les grêlons de misère ouvrent en moi ses mystères !
Ma plume ne délire vêt sa peau de chagrin
Pour Toi l’écrin d’émois sur nous ensemble unis
Et l’immortelle emblème, en cet Amour repeint,​

Dans nos forces armées s’abaisse et communie
Se met en joug toujours pour le pire et meilleur !
Et dans l’Amour suprême aucun mot ne détonne
L'alarme qui suit vit crée arme de défense​

Je déploierai mes zèles en sage sans défiance,
Chez-nous signe l’espoir et son écho résonne !
Le chant d’espérance ouvre enfin son doux recueil
Le ferme avec le cœur ancré entre deux mains.​

Polymnie, le 20 Novembre 2015 *​

Dans le texte = mes pensées.
L'Homme est la parure de la Nature
Aujourd'hui je peux ajouter : "Qu'as-tu fait de son costume"?​

polymnie2 ce 17 novembre 2O23
Poème posté le 22/11/15
Un style haut en couleurs - un ensemble de belle qualité