Prose, brouillon de 2017
Il joue à cache-cache avec la maternelle
Les bijoux tous neufs courent d’une autre manière
Les uns avec joujoux, d’autres avec doudou.
Les huit ans savourent plus loin, la marelle
Les attirent dehors, à cloche pieds sautent
Pour atteindre le ciel en rabaissant les yeux
Les mettant à leur taille et gagnent sans fautes !
Ils applaudissent en cœur, en joie l’air radieux :
Les bijoux tous neufs courent d’une autre manière
Les uns avec joujoux, d’autres avec doudou.
Les huit ans savourent plus loin, la marelle
Les attirent dehors, à cloche pieds sautent
Pour atteindre le ciel en rabaissant les yeux
Les mettant à leur taille et gagnent sans fautes !
Ils applaudissent en cœur, en joie l’air radieux :
Un, deux, trois soleil ! les deux pieds touchent s’accolent !
Dieu Râ cherche l’ombre s’étend dans les buissons
Qu’il éclaire de plein fouet effaçant tout le sombre.
Seul, un écho fusionne, frissonne son rayon :
Un, deux, trois soleil !
Dieu Râ cherche l’ombre s’étend dans les buissons
Qu’il éclaire de plein fouet effaçant tout le sombre.
Seul, un écho fusionne, frissonne son rayon :
Un, deux, trois soleil !
Comment m’ont-ils trouvé ? Sachant qu’il faut dire
Que la terre répète que : « toute vérité sort
De la bouche d’enfants » ! Elle ne peut que rougir
Elle regarde là-haut, le Consors !
Les enfants jouent avec l’essentiel pour jouir
Près de toutes racines et les sens pour ouïr !
Ce monde est à l’envers : j’éclaire un clair-obscur !
Se servir du soleil pour éclairer lanternes
Mais ça ne suffit pas, la lune se désespère
D’être demie ou pleine, il vous faut les étoiles
Pour scintiller la nuit, faire de la dentelle
Sans jamais s’en lasser : Toi homme tu « délanges » !
Pourquoi t’ai-je créée sur terre ? Tu es toujours nuages
Entre deux couches d’air et tu restes mirages !
Tu vis dans de beaux rêves ! Nul suffit pour être anges
Car tu oublies ses ailes et la voûte Céleste
N’est pas la plantaire ! Je ne suis qu’un rayon
Plein champ sur roue qui tourne autour de la terre !
Polymnie2, ce 30 septembre 2018
Que la terre répète que : « toute vérité sort
De la bouche d’enfants » ! Elle ne peut que rougir
Elle regarde là-haut, le Consors !
Les enfants jouent avec l’essentiel pour jouir
Près de toutes racines et les sens pour ouïr !
Ce monde est à l’envers : j’éclaire un clair-obscur !
Se servir du soleil pour éclairer lanternes
Mais ça ne suffit pas, la lune se désespère
D’être demie ou pleine, il vous faut les étoiles
Pour scintiller la nuit, faire de la dentelle
Sans jamais s’en lasser : Toi homme tu « délanges » !
Pourquoi t’ai-je créée sur terre ? Tu es toujours nuages
Entre deux couches d’air et tu restes mirages !
Tu vis dans de beaux rêves ! Nul suffit pour être anges
Car tu oublies ses ailes et la voûte Céleste
N’est pas la plantaire ! Je ne suis qu’un rayon
Plein champ sur roue qui tourne autour de la terre !
Polymnie2, ce 30 septembre 2018
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