QUAND LA SOURIS EST PARTIE, LES CHATS DANSENT.
Dans nos complets gris souris,
Tous les trois, nous sommes les chéris de ces dames,
Habitant dans les quartiers chics de Paname,
Nous ne sortirons pas cette nuit,
Pour courir les demoiselles,
En cette belle nuit étoilée.
Nous avons retrouvé notre liberté,
Notre souris, Madame est bien sortie…
Pourtant, nous n’avions d’yeux que pour elle,
Le cœur libre, on se sent pousser des ailes.
Ce soir, on va faire la fête,
A en perdre la tête,
Déchaînés, main dans la main,
Nous allons nous éclater jusqu’au petit matin,
Nous, le trio fantastique,
Nous allons mettre le feu avec notre musique.
Comme les bulles de champagne qui pétillent,
Léo a ses doigts qui frétillent,
Sans retenue, sur sa guitare,
Il en fait du tintamarre.
Francky le crooner, sur ses pattes de velours,
Ronronne ses éternelles chansons d’amour,
Soudain, un parfum de jazz plane dans le salon,
Passionnés et fous, les yeux polissons,
Moustache, avec son saxophone,
Jouera toute la nuit, sans répit,
Ses oreilles en bourdonnent,
Ils auraient pu la faire swinguer leur petite souris,
Les cœurs tout chat virer,
Ils décollent sur leurs rythmes endiablés.
Ce soir, c’est la dolce vita,
De la java à la salsa,
Du tango à trois temps,
A la valse à mille temps,
Du slow au boléro,
Ils danseront à s’en rompre les os.
Dans nos complets gris souris,
Tous les trois, nous sommes les chéris de ces dames,
Habitant dans les quartiers chics de Paname,
Nous ne sortirons pas cette nuit,
Pour courir les demoiselles,
En cette belle nuit étoilée.
Nous avons retrouvé notre liberté,
Notre souris, Madame est bien sortie…
Pourtant, nous n’avions d’yeux que pour elle,
Le cœur libre, on se sent pousser des ailes.
Ce soir, on va faire la fête,
A en perdre la tête,
Déchaînés, main dans la main,
Nous allons nous éclater jusqu’au petit matin,
Nous, le trio fantastique,
Nous allons mettre le feu avec notre musique.
Comme les bulles de champagne qui pétillent,
Léo a ses doigts qui frétillent,
Sans retenue, sur sa guitare,
Il en fait du tintamarre.
Francky le crooner, sur ses pattes de velours,
Ronronne ses éternelles chansons d’amour,
Soudain, un parfum de jazz plane dans le salon,
Passionnés et fous, les yeux polissons,
Moustache, avec son saxophone,
Jouera toute la nuit, sans répit,
Ses oreilles en bourdonnent,
Ils auraient pu la faire swinguer leur petite souris,
Les cœurs tout chat virer,
Ils décollent sur leurs rythmes endiablés.
Ce soir, c’est la dolce vita,
De la java à la salsa,
Du tango à trois temps,
A la valse à mille temps,
Du slow au boléro,
Ils danseront à s’en rompre les os.
