Je sors ma feuille, mon stylo, mes concepts, mes idées
Mon esprit repose sur mon coude et je tiens les heures
C’est parfois une triste lassitude d’étudier
Mais on s’accroche et fixe le regard de l’orateur
Le regard se trouble, se fige, les pensées divaguent
On écoute d’une oreille et notre inconscient s’en mêle
Les images se dévoilent, tes sourires me narguent
Eh oui ! C’est encor toi que j’entrevois en aquarelle
Nos doux moments passés et qui aujourd’hui ne sont plus
La pesanteur de me revoir en ces lieux avec toi
Mais c’est la force de ces souvenirs et les refus
Qui me submergent, partent puis reviennent malgré moi
Réveilles-toi ! Ces regards vengeurs deviennent arrogance
L’état de conscience revient, enfin libre de voir
Détachée de tes paroles, décharnée de mes sens
Je tourne la page, je reprends ma plume d’espoir.
Mon esprit repose sur mon coude et je tiens les heures
C’est parfois une triste lassitude d’étudier
Mais on s’accroche et fixe le regard de l’orateur
Le regard se trouble, se fige, les pensées divaguent
On écoute d’une oreille et notre inconscient s’en mêle
Les images se dévoilent, tes sourires me narguent
Eh oui ! C’est encor toi que j’entrevois en aquarelle
Nos doux moments passés et qui aujourd’hui ne sont plus
La pesanteur de me revoir en ces lieux avec toi
Mais c’est la force de ces souvenirs et les refus
Qui me submergent, partent puis reviennent malgré moi
Réveilles-toi ! Ces regards vengeurs deviennent arrogance
L’état de conscience revient, enfin libre de voir
Détachée de tes paroles, décharnée de mes sens
Je tourne la page, je reprends ma plume d’espoir.