Sur les quais de Seine nous partons ensemble
Dans le triste désespoir de se quitter , de désunir nos mains qui tremblent
Puisque qu'il faudra bien se faire à l'idée mon amour
Que nous partons tous un jour
Sur les quais de Seine
Peut être que tu reviendras demain ou jamais
Pendant ce temps-là je me promène au vent mauvais
Sous la pluie battante vers l'aérogare
Traînant avec moi mes idées noires
Et les souvenirs avec toi reviennent sans cesse
Il faut toujours revenir aux endroits où on laisse
Les souvenirs derrière soi
Elle avait ces cheveux dont le soleil pourrait en pâlir
Cette avidité d'amour que tu avais dans tes yeux qu'on aimerait découvrir
Le secret de sa beauté qui me laissait sans voix
L'optimisme à l'humour qui vous garderait en vie
Quand votre corps ne veut nul autre que se jeter dans la Seine
Sur les quais se baladent seulement les âmes maudites
Qui cherchent un corps pour héberger la sienne
Sur les quais de Seine nous nous aimerons comme au premier jours
On bâtira les promesses de toujours
Une fois encore et l'on ne cesse d'y croire.
Cyrille Ramain
Dans le triste désespoir de se quitter , de désunir nos mains qui tremblent
Puisque qu'il faudra bien se faire à l'idée mon amour
Que nous partons tous un jour
Sur les quais de Seine
Peut être que tu reviendras demain ou jamais
Pendant ce temps-là je me promène au vent mauvais
Sous la pluie battante vers l'aérogare
Traînant avec moi mes idées noires
Et les souvenirs avec toi reviennent sans cesse
Il faut toujours revenir aux endroits où on laisse
Les souvenirs derrière soi
Elle avait ces cheveux dont le soleil pourrait en pâlir
Cette avidité d'amour que tu avais dans tes yeux qu'on aimerait découvrir
Le secret de sa beauté qui me laissait sans voix
L'optimisme à l'humour qui vous garderait en vie
Quand votre corps ne veut nul autre que se jeter dans la Seine
Sur les quais se baladent seulement les âmes maudites
Qui cherchent un corps pour héberger la sienne
Sur les quais de Seine nous nous aimerons comme au premier jours
On bâtira les promesses de toujours
Une fois encore et l'on ne cesse d'y croire.
Cyrille Ramain
