Il faut se baguenauder
Sur la fin de l'été.
L'oiseau jette son cri
Comme un fouet se déplie,
Il paraît en colère
Pour défendre son aire.
Il faut se baguenauder
Sur la fin de l'été.
Passer sous les grands chènes,
Saisir bien l'aubaine,
Ouir la chute des glands,
Qui tombent en glissant
Sur des feuilles très sèches
Oh! Que ce bruit est rèche.
Arrivés sur le sol
Voilà ce qui console
Les glands se dissocient;
La graine est par demie
Et la coupelle tenue
Par une tige de bois nu,
Semble tendre aux oiseaux
Un petit verre pour l'eau.
Il faut se baguenauder
Sur la fin de l'été.
Sur la fin de l'été.
L'oiseau jette son cri
Comme un fouet se déplie,
Il paraît en colère
Pour défendre son aire.
Il faut se baguenauder
Sur la fin de l'été.
Passer sous les grands chènes,
Saisir bien l'aubaine,
Ouir la chute des glands,
Qui tombent en glissant
Sur des feuilles très sèches
Oh! Que ce bruit est rèche.
Arrivés sur le sol
Voilà ce qui console
Les glands se dissocient;
La graine est par demie
Et la coupelle tenue
Par une tige de bois nu,
Semble tendre aux oiseaux
Un petit verre pour l'eau.
Il faut se baguenauder
Sur la fin de l'été.