Prise du con en science.(pastiche)
Gerce-moi, gerce-moi cette journée !
Le miel avide et sage ma conjoncture,
N’obtienne toujours que les cieux damnés,
Où le murmure d’à est bien trop dur.
Mes rencards festoient, en reviens-tu ?
De cette farce dévoilée sans caresse,
Elle règle encore les décors débattus,
L’ode hissée résume tous mes réflexes
Gerce-moi, gerce-moi cette nuit !
Clair voyant le flou de ma carrure,
Des gens où l’allusion est d’ennui,
Au pot d’estime sans carbure.
Qui tient, s’en va comme le dernier,
Est-ce lui qui d’aventure hésite ?
Il égraine les heures sans rechigner,
Son tort excelle comme un parasite.
Gerce-moi, gerce-moi, grand dadais !
Le réveil n‘atteint pas l’éphémère,
Les soucis se brassent sous le dais,
Quand l’envie est celle d’une chimère.
Gerce-moi, gerce-moi cette journée !
Le miel avide et sage ma conjoncture,
N’obtienne toujours que les cieux damnés,
Où le murmure d’à est bien trop dur.
Mes rencards festoient, en reviens-tu ?
De cette farce dévoilée sans caresse,
Elle règle encore les décors débattus,
L’ode hissée résume tous mes réflexes
Gerce-moi, gerce-moi cette nuit !
Clair voyant le flou de ma carrure,
Des gens où l’allusion est d’ennui,
Au pot d’estime sans carbure.
Qui tient, s’en va comme le dernier,
Est-ce lui qui d’aventure hésite ?
Il égraine les heures sans rechigner,
Son tort excelle comme un parasite.
Gerce-moi, gerce-moi, grand dadais !
Le réveil n‘atteint pas l’éphémère,
Les soucis se brassent sous le dais,
Quand l’envie est celle d’une chimère.