Un écrit maladroit, peut-être, mais intime et encourageant, qui m'a aidé dans ces derniers mois difficiles...
Chaque soir de pleurs, où mon courage m'abandonnait, j'écrivais dans un petit cahier mes lettres à Dieu. Je sais qu'il m'entendait, et était prêt à me consoler... Il a pansé mon cœur et relevé ma tête...
Quand le coeur se meurt, un seul Être peut écouter
Toutes les prières s'abritent sous Son rocher.
Au moindre bruissement, au moindre tremblement
Ton Dieu te tiendra lieu de tout.
Et des obscurs dessous au firmament
Notre Père est avec nous.
Que ces mots chantent en choeur au rythme de Ses louanges
Qu’ils pleurent à Ses oreilles comme les larmes des Anges
Que mes cris sourds montent en Ses Cieux,
Car non, mon Père se soucie de mes yeux.
Il voit mes sursauts de terreur,
Son regard ne s’éloigne pas de mon malheur,
Il sait quand mon âme est pied à terre
Lui seul la rendra de nouveau légère comme l’air.
O mon Dieu, fais jaillir en moi l’eau de Ton secours,
Car Ta main seule est mon recours
Tend-la vers moi, et les écueils sembleront plats,
Car jamais personne ne peut contrer Ton bras.
Seule, froide, sèche d’avoir trop déçu, travaillée, déchue,
Je me blottis contre mes pauvres mots qui escaladent le ciel, et trouveront vers Toi une aide paternelle.
Mon regard est si faible, et un coucher de soleil même,
je ne peux le fixer. Mais de Tes ailes majestueuses,
enveloppe ce petit être que je suis, qui a peur, qui a froid.
Aux portes de Ta demeure, qui viendrait m’y chercher?
Je me débat donc, Seigneur, des liens de la peur,
Et je refuse avec force l’esclavage de l’angoisse.
Toute ma vie n’est que Toi, et je sais
Que seule ma confiance indicible en Ta grâce me sauvera.
Je me tiendrai debout Seigneur, car je suis
Encore et toujours ton ambassadeur, même dans la nuit.
Chaque soir de pleurs, où mon courage m'abandonnait, j'écrivais dans un petit cahier mes lettres à Dieu. Je sais qu'il m'entendait, et était prêt à me consoler... Il a pansé mon cœur et relevé ma tête...
Quand le coeur se meurt, un seul Être peut écouter
Toutes les prières s'abritent sous Son rocher.
Au moindre bruissement, au moindre tremblement
Ton Dieu te tiendra lieu de tout.
Et des obscurs dessous au firmament
Notre Père est avec nous.
Que ces mots chantent en choeur au rythme de Ses louanges
Qu’ils pleurent à Ses oreilles comme les larmes des Anges
Que mes cris sourds montent en Ses Cieux,
Car non, mon Père se soucie de mes yeux.
Il voit mes sursauts de terreur,
Son regard ne s’éloigne pas de mon malheur,
Il sait quand mon âme est pied à terre
Lui seul la rendra de nouveau légère comme l’air.
O mon Dieu, fais jaillir en moi l’eau de Ton secours,
Car Ta main seule est mon recours
Tend-la vers moi, et les écueils sembleront plats,
Car jamais personne ne peut contrer Ton bras.
Seule, froide, sèche d’avoir trop déçu, travaillée, déchue,
Je me blottis contre mes pauvres mots qui escaladent le ciel, et trouveront vers Toi une aide paternelle.
Mon regard est si faible, et un coucher de soleil même,
je ne peux le fixer. Mais de Tes ailes majestueuses,
enveloppe ce petit être que je suis, qui a peur, qui a froid.
Aux portes de Ta demeure, qui viendrait m’y chercher?
Je me débat donc, Seigneur, des liens de la peur,
Et je refuse avec force l’esclavage de l’angoisse.
Toute ma vie n’est que Toi, et je sais
Que seule ma confiance indicible en Ta grâce me sauvera.
Je me tiendrai debout Seigneur, car je suis
Encore et toujours ton ambassadeur, même dans la nuit.