Prends ma main dans la tienne
(chanson)*
J’ai dans la poche une boussol’ parcellair’
Je suis la philosophe des pensées fragmentair’s
Un p’tit morceau d’ébauch’ dans un monde lacunaire
Joli bouton de rose qui recherche la lu-u-mièr’ !
Mais prends ma main
Dans la tienn’ !
Regarde le tutoiement de
Nos deux âmes !
Écoute l’enlacement de
Nos deux corps !
Et vi-iens m’embraser !
Dans mes cheveux, j’ai la chaleur de tes doigts
Tout au fond de mes yeux, j’ai la douceur de ta voix
Je ne connais pas mieux que de rire dans tes émois
Quand on est tous les deux j’ai la tête qui tou-our-noie !
À Saint-Germain,
Je suis tienn’ !
Au Café de Flor’ tes regards
Me désarment !
Déroule le battement de
Nos deux cœurs !
Et vi-iens m’embrasser !
Mais la vie d’amants est légèr’ comme l’éther
Dans nos égarements demain n’est pas comm’ hier
Je suis un filament qui ne donne plus de lumière
Une rose des vents sur la terre d’un ci-i-metière ...
Nos lendemains
Qui s’éteign’nt !
Prends garde au rougeoiement de mes
Yeux en larmes !
Je referme les deux pans de
Nos « encore »
Parc’ que tu m’as laissée
Parc’ que tu m’as laissée
Parc’ que tu m’as laissée …
Aubépin des Ardrets (Tipotlatch)
* Ce texte s'est, dans mon esprit, aussitôt imposé comme une chanson devant être interprétée par une voix féminine accompagnée d’une musique vive et joyeuse, jazzy en style manouche (banjo, guitare, clarinette, contrebasse/contrebassine, balais sur caisse claire, éventuellement planche à lessiver, etc...).
(chanson)*
J’ai dans la poche une boussol’ parcellair’
Je suis la philosophe des pensées fragmentair’s
Un p’tit morceau d’ébauch’ dans un monde lacunaire
Joli bouton de rose qui recherche la lu-u-mièr’ !
Mais prends ma main
Dans la tienn’ !
Regarde le tutoiement de
Nos deux âmes !
Écoute l’enlacement de
Nos deux corps !
Et vi-iens m’embraser !
Dans mes cheveux, j’ai la chaleur de tes doigts
Tout au fond de mes yeux, j’ai la douceur de ta voix
Je ne connais pas mieux que de rire dans tes émois
Quand on est tous les deux j’ai la tête qui tou-our-noie !
À Saint-Germain,
Je suis tienn’ !
Au Café de Flor’ tes regards
Me désarment !
Déroule le battement de
Nos deux cœurs !
Et vi-iens m’embrasser !
Mais la vie d’amants est légèr’ comme l’éther
Dans nos égarements demain n’est pas comm’ hier
Je suis un filament qui ne donne plus de lumière
Une rose des vents sur la terre d’un ci-i-metière ...
Nos lendemains
Qui s’éteign’nt !
Prends garde au rougeoiement de mes
Yeux en larmes !
Je referme les deux pans de
Nos « encore »
Parc’ que tu m’as laissée
Parc’ que tu m’as laissée
Parc’ que tu m’as laissée …
Aubépin des Ardrets (Tipotlatch)
* Ce texte s'est, dans mon esprit, aussitôt imposé comme une chanson devant être interprétée par une voix féminine accompagnée d’une musique vive et joyeuse, jazzy en style manouche (banjo, guitare, clarinette, contrebasse/contrebassine, balais sur caisse claire, éventuellement planche à lessiver, etc...).
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