Il n’y avait pas que moi dans cette nuit
Il y avait cette odeur imprégnée
De mystères, qui m’observait de loin
J’avais les jambes molles, les mains moites
Les mots me pourchassaient jusque dans ma tête
Je n’ai pas pris de chance, je suis entrée
À la première place où il y avait de la vie
C’était un bar à l’ambiance folle
Les conversations perchées, comme des aigles ,
Épiaient le moindre inconnu au rendez-vous
Les postillons rampaient sur les chairs dénudés
J’avais des frissons aussi puissants que ma peur
Puis le maitre a pris la parole
Ça m’a jeté un sort, j’étais subjuguée
Tellement étourdie, que je suis tombée
Carrément sur les voix déchaînées de la nuit
De peine et de misère, je suis retournée
Toute chamboulée de ces mots entendus
J’ai pris le chemin de la maison, escortée,
Par la poésie, le slam et tout l’or du monde
Il y avait cette odeur imprégnée
De mystères, qui m’observait de loin
J’avais les jambes molles, les mains moites
Les mots me pourchassaient jusque dans ma tête
Je n’ai pas pris de chance, je suis entrée
À la première place où il y avait de la vie
C’était un bar à l’ambiance folle
Les conversations perchées, comme des aigles ,
Épiaient le moindre inconnu au rendez-vous
Les postillons rampaient sur les chairs dénudés
J’avais des frissons aussi puissants que ma peur
Puis le maitre a pris la parole
Ça m’a jeté un sort, j’étais subjuguée
Tellement étourdie, que je suis tombée
Carrément sur les voix déchaînées de la nuit
De peine et de misère, je suis retournée
Toute chamboulée de ces mots entendus
J’ai pris le chemin de la maison, escortée,
Par la poésie, le slam et tout l’or du monde