Prêts à s'aimer
Tu marches au milieu de cette immense salle à manger,
J'observe les tableaux accrochés aux murs, ceux-là attirent mon intention,
Tu me tourne le dos, en silence tu observes le temps qu'il fait dehors,
Vers toi, progressivement sans faire de bruit, je m'approche lentement,
Le sourire dessinait sur tes lèvres me séduit,
Ce regard narquois que tu m'offres malgré moi m'ensorcelle,
Si prés de toi, je sent bien que de tout mon être, je frissonne,
Mon cœur à ton égard est si fébrile, pourtant lui seul bat la chamade,
Sans savoir à quoi tu pense, je n'ose pas trop te déranger,
A peine nos regards se croisent, entres nous monte une soudaine tension,
Tu souris, chercherais tu à être mon cavalier, mon guide, mon mentor ?
En avançant vers moi, je peux voir l'univers de tes bras s'ouvrir tendrement,
Nos doigts s'effleurent jusqu'à ce qu'ils en viennent à se mélanger sous la lumière qui luit,
Si tu désires être mon autre alors je veux bien que tu me regardes comme ta belle,
Pourvu que nos tendres cœurs emplis de sentiments profonds s'affectionnent,
Qu' ensemble entres nos murmures, on se cherche, se lie et puis vers l'inconnu on s'évade,
Vient prends ma main, allons donner la chance à nos cœurs de se mélanger,
Laissons la liberté à nos cœurs pleins d''émois, alors que nous sommes tremblant d'émotions,
Maintenant que nous sommes si proches se sont nos cœurs qui battent de plus en plus fort,
Prends ma main et essayons tout les deux d'atteindre le doux firmament,
Grâce au fruit parfumé de notre amour, dans un tourbillon de bonheur on s'enfuit,
Tirons sur nous, les magnifiques et lumineux voiles d'amour éternels,
Autour de nous les joies de s'aimer chaque seconde un peu plus fort et se façonnent,
Jour après jour, notre amour si pur devient une éternelle ballade.
Tu marches au milieu de cette immense salle à manger,
J'observe les tableaux accrochés aux murs, ceux-là attirent mon intention,
Tu me tourne le dos, en silence tu observes le temps qu'il fait dehors,
Vers toi, progressivement sans faire de bruit, je m'approche lentement,
Le sourire dessinait sur tes lèvres me séduit,
Ce regard narquois que tu m'offres malgré moi m'ensorcelle,
Si prés de toi, je sent bien que de tout mon être, je frissonne,
Mon cœur à ton égard est si fébrile, pourtant lui seul bat la chamade,
Sans savoir à quoi tu pense, je n'ose pas trop te déranger,
A peine nos regards se croisent, entres nous monte une soudaine tension,
Tu souris, chercherais tu à être mon cavalier, mon guide, mon mentor ?
En avançant vers moi, je peux voir l'univers de tes bras s'ouvrir tendrement,
Nos doigts s'effleurent jusqu'à ce qu'ils en viennent à se mélanger sous la lumière qui luit,
Si tu désires être mon autre alors je veux bien que tu me regardes comme ta belle,
Pourvu que nos tendres cœurs emplis de sentiments profonds s'affectionnent,
Qu' ensemble entres nos murmures, on se cherche, se lie et puis vers l'inconnu on s'évade,
Vient prends ma main, allons donner la chance à nos cœurs de se mélanger,
Laissons la liberté à nos cœurs pleins d''émois, alors que nous sommes tremblant d'émotions,
Maintenant que nous sommes si proches se sont nos cœurs qui battent de plus en plus fort,
Prends ma main et essayons tout les deux d'atteindre le doux firmament,
Grâce au fruit parfumé de notre amour, dans un tourbillon de bonheur on s'enfuit,
Tirons sur nous, les magnifiques et lumineux voiles d'amour éternels,
Autour de nous les joies de s'aimer chaque seconde un peu plus fort et se façonnent,
Jour après jour, notre amour si pur devient une éternelle ballade.
