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Pour toi à minuit (trilogie d'amour HF - poème 3)

#1
Mon début dans l'écriture érotico-sensuelle

Pour toi à minuit



Il est minuit passé.
Je te donne un doux baiser
Derrière ton oreille.
Souriant, tu enlèves tes corbeilles
Et aussi ton panta-court.
Moi, je te susurre encore mon amour.

Il est une heure moins trois.
T'es assise en face de moi.
Nos doigts se touchent,
Nos veines se bouchent,
Nos cœurs appellent au son du tambour
Le tant désiré marathon d'amour.

Tu te penches enfin sur moi.
Tout jusqu'au moindre poil se dresse vers toi.
Ta langue contourne l'obstacle majeur
Qui ose se pointer entre moi et ton cœur.
Et pour le punir de son impertinence,
Tu titilles sa petite fente en toute innocence.

Du fond de mes entrailles, un râle fait jour.
Je me venge en léchant ton jardin à mon tour,
Mais ta perle j'évite malicieusement
Pour me concentrer sur tes boisements.
Ta réplique me donne la chaire de poule.
Tu dis simplement "viens" en joignant mes boules.

***

Nos âmes s'envolent pour un pays lointain.
Des elfes nous chantent le plus doux des refrains.
Tout l'air est rempli d'un délicieux parfum.
Synchronisant notre course, nous nous berçons en commun.
Entre ciel et terre, détaché de tout temps,
Nous flânons sans remords, comme une plume au vent.

***

Puis je te sens sur moi, assise à califourchon,
Tout tremblante sur mon membre en érection.
Pendant que je me répand en toi,
Mes bronches inspirent ton cri de joie.
J'effleure encore tout frémissant tes seins,
Quand tu me parles déjà de ton destin.

Toujours assise à califourchon,
Tu aspires mon essence jusque dans tes poumons.
Je lèche tendrement une goutte qui perle sur ton sein.
Cette nuit je veux tout, je ne m'abstiens de rien.
Mes lèvres redressent partout ton duvet,
De mille baisers mon merci sera fait.

Tu t'es de nouveau couchée face à moi.
Tes jambes m'embrassent, je suis tout émoi.
Dans ma tête, milles clochettes carillonnent comme fou,
Mes lèvres se cramponnent à ton bijou.
Ma langue papillonne dans les vagues de ta mer en tempête,
A la poursuite de l'écume qui doit consacrer notre fête.

C'est l'éros qui plonge aussi loin qu'il peut,
Quand la mer rouge s'embrase de multiples feux.
Exténué, je repose content ma tête sur toi,
Nous brûlons de chaleur et aussi d'émoi.
Si'il faut s'en aller un jour de manière vigoureuse,
Macaria, pense à nous, déesse de la mort heureuse.

Tu t'es blottie tout contre moi.
Mes doigts caressent une mèche à toi.
Nos âmes dansent à l'unisson,
Au son du dernier slow dans le fond.
Et quand enfin le silence fit,
Nous remarquons qu'il fait déjà midi.

Stille, le 05/06/2010, Paris à 13h00
Tous droits réservés ©
 
Dernière édition:

kandinsky

Maître Poète
#2
Mon début dans l'écriture érotico-sensuelle

Pour toi à minuit



Il est minuit passé.
Je te donne un doux baiser
Derrière ton oreille.
Souriant, tu enlèves tes corbeilles
Et aussi ton panta-court.
Moi, je te susurre encore mon amour.

Il est une heure moins trois.
T'es assise en face de moi.
Nos doigts se touchent,
Nos veines se bouchent,
Nos cœurs appellent au son du tambour
Le tant désiré marathon d'amour.

Tu te penches enfin sur moi.
Tout jusqu'au moindre poil se dresse vers toi.
Ta langue contourne l'obstacle majeur
Qui ose se pointer entre moi et ton cœur.
Et pour le punir de son impertinence,
Tu titilles sa petite fente en toute innocence.

Du fond de mes entrailles, un râle fait jour.
Je me venge en léchant ton jardin à mon tour,
Mais ta perle j'évite malicieusement
Pour me concentrer sur tes boisements.
Ta réplique me donne la chaire de poule.
Tu dis simplement "viens" en joignant mes boules.

***

Nos âmes s'envolent pour un pays lointain.
Des elfes nous chantent le plus doux des refrains.
Tout l'air est rempli d'un délicieux parfum.
Synchronisant notre course, nous nous berçons en commun.
Entre ciel et terre, détaché de tout temps,
Nous flânons sans remords, comme une plume au vent.

***

Puis je te sens sur moi, assise à califourchon,
Tout tremblante sur mon membre en érection.
Pendant que je me répand en toi,
Mes bronches inspirent ton cri de joie.
J'effleure encore tout frémissant tes seins,
Quand tu me parles déjà de ton destin.

Toujours assise à califourchon,
Tu aspires mon essence jusque dans tes poumons.
Je lèche tendrement une goutte qui perle sur ton sein.
Cette nuit je veux tout, je ne m'abstiens de rien.
Mes lèvres redressent partout ton duvet,
De mille baisers mon merci sera fait.

Tu t'es de nouveau couchée face à moi.
Tes jambes m'embrassent, je suis tout émoi.
Dans ma tête, milles clochettes carillonnent comme fou,
Mes lèvres se cramponnent à ton bijou.
Ma langue papillonne dans les vagues de ta mer en tempête,
A la poursuite de l'écume qui doit consacrer notre fête.

C'est l'éros qui plonge aussi loin qu'il peut,
Quand la mer rouge s'embrase de multiples feux.
Exténué, je repose content ma tête sur toi,
Nous brûlons de chaleur et aussi d'émoi.
Si'il faut s'en aller un jour de manière vigoureuse,
Macaria, pense à nous, déesse de la mort heureuse.

Tu t'es blottie tout contre moi.
Mes doigts caressent une mèche à toi.
Nos âmes dansent à l'unisson,
Au son du dernier slow dans le fond.
Et quand enfin le silence fit,
Nous remarquons qu'il fait déjà midi.

Stille, le 05/06/2010, Paris à 13h00
Tous droits réservés ©

Il en faut une plume pour décrire aussi élégamment l'amour sous et sans toutes ses coutures. Un délice de lecture.
 
#4
À minuit tout est permis
Du flots qui éclos en un volcan de désir
À la moiteur de nos corps en apesanteur
En délice de jouvence entre vos bras
Que s'écoule l'orgueil d'un Baiser soudain Reflétant
Un soupir à n'en plus finir
Un essaie réussis
Mon ami
Pour toi à minuit
 
#7
À minuit tout est permis
Du flots qui éclos en un volcan de désir
À la moiteur de nos corps en apesanteur
En délice de jouvence entre vos bras
Que s'écoule l'orgueil d'un Baiser soudain Reflétant
Un soupir à n'en plus finir
Un essaie réussis
Mon ami
Pour toi à minuit
On s'avance sur un terrain dangereux ou glissant
Si à minuit tout est permis :D
Mieux vaut alors descendre les volets :confused:

Merci Lyseria d'avoir pris place dans ce train de la sensualité
Où se côtoient l'amour, le désir, la douceur, le rêve et la réalité