Pour rester auprès de Toi, ma Muse, je deviendrai ta rose
Pour rester auprès de Toi,
ma Muse, ma Fée de douceur,
je deviendrai ta rose que tu humeras à tout instant
en la tenant entre tes paumes légères et si tendres,
ma Muse, ma Fée de douceur,
je deviendrai ta rose que tu humeras à tout instant
en la tenant entre tes paumes légères et si tendres,
pour rester auprès de Toi,
je deviendrai oiseau
pour orner de mes chants mélodieux
les battements de ton coeur,
mais plus que tout,
je guetterai, poétesse,
sur le Soleil de ton visage,
le printemps de ta délicatesse
que je psalmodierai
dessus les chapelles des bocages,
dessus les champs d’asphodèles,
et dans l’Univers.
je deviendrai oiseau
pour orner de mes chants mélodieux
les battements de ton coeur,
mais plus que tout,
je guetterai, poétesse,
sur le Soleil de ton visage,
le printemps de ta délicatesse
que je psalmodierai
dessus les chapelles des bocages,
dessus les champs d’asphodèles,
et dans l’Univers.
J’épouserai tes sourires
afin d’être en Toi, sur Toi,
Toi qui règnes sur les cathédrales de clarté,
sur les ciels d’azur, et les dais des nuages.
afin d’être en Toi, sur Toi,
Toi qui règnes sur les cathédrales de clarté,
sur les ciels d’azur, et les dais des nuages.
Héberge
les flots incandescents de ma Féminité,
vois, je vais, par les chemins, par les rues des villes,
enveloppée par le parchemin de ta présence,
les flots incandescents de ma Féminité,
vois, je vais, par les chemins, par les rues des villes,
enveloppée par le parchemin de ta présence,
je vais, en l’île d’or de ta Grâce,
par les jours, par les nuits,
mendier en robe de nudité
l’éternelle jeunesse de ta peau,
je vogue ensuite,
sentinelle de nos émois,
sur
les pages silencieuses de ton sommeil.
par les jours, par les nuits,
mendier en robe de nudité
l’éternelle jeunesse de ta peau,
je vogue ensuite,
sentinelle de nos émois,
sur
les pages silencieuses de ton sommeil.
Ce soir,
pour preuve de mon Amour éternel,
je déposerai sur tes lèvres,
l’aile d’un baiser !
pour preuve de mon Amour éternel,
je déposerai sur tes lèvres,
l’aile d’un baiser !
Sophie Rivière