Au cas cendre. (d’après un rond Sarde)
Bobonne ! Va donc voir si ma prose
Que ce soir enfin j’expose
Au lobe qui s’empourpre au sommeil,
Au loin éperdu dans mes idées
Repli de mon lobe de poupée,
Qui au matin m’émerveille.
Là, dévoyez comme un feu de glace,
Bobonne, je t’ai laissé la place
Là, là, ces beaux écrits au perchoir !
Ho, gaiement, es maître mature,
Pour qu’aucune peur ne dure
Que du malin soit à surseoir !
Donc, si vous me lisez, Bobonne,
Pour que mes adages raisonnent
Vers plus d’inhabituelle beauté
Recueillez, de moi la hardiesse
Comme celle d’une déesse
Sera de retenir ma loyauté.
Bobonne ! Va donc voir si ma prose
Que ce soir enfin j’expose
Au lobe qui s’empourpre au sommeil,
Au loin éperdu dans mes idées
Repli de mon lobe de poupée,
Qui au matin m’émerveille.
Là, dévoyez comme un feu de glace,
Bobonne, je t’ai laissé la place
Là, là, ces beaux écrits au perchoir !
Ho, gaiement, es maître mature,
Pour qu’aucune peur ne dure
Que du malin soit à surseoir !
Donc, si vous me lisez, Bobonne,
Pour que mes adages raisonnent
Vers plus d’inhabituelle beauté
Recueillez, de moi la hardiesse
Comme celle d’une déesse
Sera de retenir ma loyauté.