Puisque le soleil n'a pas su te sauver,
Puisque ta vie finit dans ton quartier,
Puisque le ciel t'a cruellement tué,
Je pleurerais.
Puisque la vie t'a dorloté des années,
Puisque ta voix a su dix sept ans porter,
Pour tes amours, tes joies et tes amitiés,
Je sourirais.
Pourtant la pluie coule sur les visages plombés,
Plus rien ne brille, miroirs trop de fois brisés
Vies anéanties, par un ralenti saccadé
Je succomberai
Demain, entre les murs gris où résonnera ton nom
Comment croire à ton lit vide dans ta maison?
Je reverrais, dans les gravures et les vitraux
Tes amis, ton souvenir, ta vie Matthéo.
Puis ma voix s'élèvera, sans prétention, pour croire
Pourvoir donner un peu de paix, d'émotion, dire au revoir...
Puisque ta vie finit dans ton quartier,
Puisque le ciel t'a cruellement tué,
Je pleurerais.
Puisque la vie t'a dorloté des années,
Puisque ta voix a su dix sept ans porter,
Pour tes amours, tes joies et tes amitiés,
Je sourirais.
Pourtant la pluie coule sur les visages plombés,
Plus rien ne brille, miroirs trop de fois brisés
Vies anéanties, par un ralenti saccadé
Je succomberai
Demain, entre les murs gris où résonnera ton nom
Comment croire à ton lit vide dans ta maison?
Je reverrais, dans les gravures et les vitraux
Tes amis, ton souvenir, ta vie Matthéo.
Puis ma voix s'élèvera, sans prétention, pour croire
Pourvoir donner un peu de paix, d'émotion, dire au revoir...