Bien trop longtemps des rivières salées, sur nos joues
On coulé comme autant de traces sanglantes.
Nos nuits, comme nos jours, on tourné, tels une roue,
N’arrêtant sa course qu’au pied d’une rude pente.
Et pourtant tu es encore là, Ô mon ultime amante.
Sous le ciel nocturne, tu es mon astre unique.
Après des nuits de tempêtes glacées sans étoiles,
Irradiante de beauté et sans une tunique,
Nue contre mon flanc, tes courbes idylliques
Tiennent mon âme prisonnière dans leur soyeuse toile.
Vénus et Aphrodite peuvent te maudire, te jalouser,
A la vue de ton corps, de ta douce silhouette.
Les diamants et les joyaux de toutes les planètes,
Etoiles et lunes, soleils et voies lactées
N’ont pas cet éclat que diffusent tes vertes prunelles,
Tant la lueur de ton regard brille sous mes caresses,
Invitant ma passion à t’aimer plus, Ô ma belle.
Non pas comme simple compagne, mais en vrai princesse.
Mon corps frémit, frissonne et tremble,
Au contact de ta peau couverte de fine dentelle.
Fier d’être un homme, fort de nous deux ensemble.
Et si faible pourtant sous tes lèvres gourmandes.
Léger et fragile comme les rêves d’un enfant,
Intimidé et rougissant, me livrant tel une offrande
N’osant troubler ce profond silence charnel
Et priant pour que cet instant devienne éternel.
On coulé comme autant de traces sanglantes.
Nos nuits, comme nos jours, on tourné, tels une roue,
N’arrêtant sa course qu’au pied d’une rude pente.
Et pourtant tu es encore là, Ô mon ultime amante.
Sous le ciel nocturne, tu es mon astre unique.
Après des nuits de tempêtes glacées sans étoiles,
Irradiante de beauté et sans une tunique,
Nue contre mon flanc, tes courbes idylliques
Tiennent mon âme prisonnière dans leur soyeuse toile.
Vénus et Aphrodite peuvent te maudire, te jalouser,
A la vue de ton corps, de ta douce silhouette.
Les diamants et les joyaux de toutes les planètes,
Etoiles et lunes, soleils et voies lactées
N’ont pas cet éclat que diffusent tes vertes prunelles,
Tant la lueur de ton regard brille sous mes caresses,
Invitant ma passion à t’aimer plus, Ô ma belle.
Non pas comme simple compagne, mais en vrai princesse.
Mon corps frémit, frissonne et tremble,
Au contact de ta peau couverte de fine dentelle.
Fier d’être un homme, fort de nous deux ensemble.
Et si faible pourtant sous tes lèvres gourmandes.
Léger et fragile comme les rêves d’un enfant,
Intimidé et rougissant, me livrant tel une offrande
N’osant troubler ce profond silence charnel
Et priant pour que cet instant devienne éternel.