Peu importe les heures, les minutes , les années
Les secondes qui s ‘égrainent sur le fil du temps
On a beau le vouloir, hématomes percés
Un cœur qui est meurtri reste un cœur endeuillé…
On avance lentement sur ce fil de soie
Celui que l’on appel tout simplement la vie
Celui qui nous abreuve, éblouis et sans voix
Il ne nous laisse pas moins un peu comme en sursit…
Elle t’as ouvert son cœur, elle t’as offert son corps
Et accepter tes mains sur sa peau hématié
Toi tu t’y es perdu, un peu comme naufragé
Toi le piètre marin…perdu dans d’autres ports…
Mais le chant des sirènes à bien sur une fin
Comme le cœur d’une femme qui a su tout donner
Tu as perdu ta place dans son âme bleutée
Laisse la enfin tranquille, pauvre peau de chagrin….
Moi je t’aime ma chérie et tu le sais si bien
Mes bras te sont ouverts, dans tes nuits transparentes
Je t’aime , je t’aimerai… au futur incertain
Ma jojo…mon amie…mon si tendre pralin…
Les secondes qui s ‘égrainent sur le fil du temps
On a beau le vouloir, hématomes percés
Un cœur qui est meurtri reste un cœur endeuillé…
On avance lentement sur ce fil de soie
Celui que l’on appel tout simplement la vie
Celui qui nous abreuve, éblouis et sans voix
Il ne nous laisse pas moins un peu comme en sursit…
Elle t’as ouvert son cœur, elle t’as offert son corps
Et accepter tes mains sur sa peau hématié
Toi tu t’y es perdu, un peu comme naufragé
Toi le piètre marin…perdu dans d’autres ports…
Mais le chant des sirènes à bien sur une fin
Comme le cœur d’une femme qui a su tout donner
Tu as perdu ta place dans son âme bleutée
Laisse la enfin tranquille, pauvre peau de chagrin….
Moi je t’aime ma chérie et tu le sais si bien
Mes bras te sont ouverts, dans tes nuits transparentes
Je t’aime , je t’aimerai… au futur incertain
Ma jojo…mon amie…mon si tendre pralin…