Je suis né sur une planète désertique,
D’une naissance soi disant non orgasmique.
Pour certains je suis l’enfant du destin,
Pour d’autres, je suis l’essence pure du malin.
Peu m’importe la nature de mon dessein,
Car vous succomberez tous de mes mains.
Je suis tellement prétentieux,
Je veux dépasser tous les dieux.
Bande de faibles, mangez dans ma main,
Tel est mon véritable instinct.
Je suis une de ces immondes raclures,
A qui tu devras tes points de suture.
Ils ont tué ma tendre mère,
Libéré ma colère.
J’aurais du voir le complot
De ce véritable salaud.
J’aurais du revenir plutôt,
J’aurais pu lui sauver la peau.
Mon âme a toujours été d’un noir pur.
Je laisse dominer ma vraie nature.
J’ai tellement peu essayé
De calmer mon obscur coté.
Je me suis laissé débordé,
Par cette bien sombre fatalité.
Afin de pouvoir goûter au bonheur,
Je me suis choisi un nouveau seigneur.
De sa voix prête au sacrifice,
Il exécute l’ordre Soixante Six.
L’univers est maintenant sien,
Il a fait tuer ses anges gardiens.
Autrefois j’avais une douce femme,
Elle s’appelait Amidala.
Depuis elle s’est éteinte la flamme,
Je l’ai achevé de ce bras.
Je l’ai aimé,
Puis je l’ai tué.
Je dois ce visage de peur
A mon ancien précepteur.
Autrefois j’étais le padawan,
De ce maître nommé Obiwan.
Nous étions alors comme des frères,
Jusqu'à ce combat en enfer.
Il aurait même pu me décapiter,
Mais par un troublant instant de pitié,
Ma vie, l’épargner il a préférer,
Il a laissé la lave me consumer.
Il y a longtemps, j’avais un bon cœur,
Je m’appelais Anakin Skywalker.
Mais pour moi il n’est pas encore l’heure,
De vous libérer de mon empereur.
A présent le nom que j’arbore,
C’est celui de maître Dark Vador.
Je suis le reflet de la mort,
Mais en fin de compte, tous m’adorent.
Fils, que je n’ai pas vu grandir.
Un moment tu risques de périr,
Je te crie que je suis ton père,
Je veux exacerber ta colère.
Ma vie devait être un conte prophétique,
Ce fut une succession de faits tragiques.
Mon Dieu, mon fils que tu es magnifique,
J’ai ramené l’équilibre dans la force.
Ou est ton opposé, ce mal antique.
L’équilibre tient à un fil, c’est atroce.
D’une naissance soi disant non orgasmique.
Pour certains je suis l’enfant du destin,
Pour d’autres, je suis l’essence pure du malin.
Peu m’importe la nature de mon dessein,
Car vous succomberez tous de mes mains.
Je suis tellement prétentieux,
Je veux dépasser tous les dieux.
Bande de faibles, mangez dans ma main,
Tel est mon véritable instinct.
Je suis une de ces immondes raclures,
A qui tu devras tes points de suture.
Ils ont tué ma tendre mère,
Libéré ma colère.
J’aurais du voir le complot
De ce véritable salaud.
J’aurais du revenir plutôt,
J’aurais pu lui sauver la peau.
Mon âme a toujours été d’un noir pur.
Je laisse dominer ma vraie nature.
J’ai tellement peu essayé
De calmer mon obscur coté.
Je me suis laissé débordé,
Par cette bien sombre fatalité.
Afin de pouvoir goûter au bonheur,
Je me suis choisi un nouveau seigneur.
De sa voix prête au sacrifice,
Il exécute l’ordre Soixante Six.
L’univers est maintenant sien,
Il a fait tuer ses anges gardiens.
Autrefois j’avais une douce femme,
Elle s’appelait Amidala.
Depuis elle s’est éteinte la flamme,
Je l’ai achevé de ce bras.
Je l’ai aimé,
Puis je l’ai tué.
Je dois ce visage de peur
A mon ancien précepteur.
Autrefois j’étais le padawan,
De ce maître nommé Obiwan.
Nous étions alors comme des frères,
Jusqu'à ce combat en enfer.
Il aurait même pu me décapiter,
Mais par un troublant instant de pitié,
Ma vie, l’épargner il a préférer,
Il a laissé la lave me consumer.
Il y a longtemps, j’avais un bon cœur,
Je m’appelais Anakin Skywalker.
Mais pour moi il n’est pas encore l’heure,
De vous libérer de mon empereur.
A présent le nom que j’arbore,
C’est celui de maître Dark Vador.
Je suis le reflet de la mort,
Mais en fin de compte, tous m’adorent.
Fils, que je n’ai pas vu grandir.
Un moment tu risques de périr,
Je te crie que je suis ton père,
Je veux exacerber ta colère.
Ma vie devait être un conte prophétique,
Ce fut une succession de faits tragiques.
Mon Dieu, mon fils que tu es magnifique,
J’ai ramené l’équilibre dans la force.
Ou est ton opposé, ce mal antique.
L’équilibre tient à un fil, c’est atroce.