Pour le meilleur et pour le pire ?
Sur le parvis déserté par peur de l'orage
Les carillons en pleurs agitaient le clocher
Sous cette averse où mon corps fuyait les plaies
Sollicitant une auberge à mon exceptionnel bagage
Cette "aile" repliée en sanglots sous mes jupons
Terrorisée de ces menaces Ô âpre vin
Sa menotte cimentée à mon piètre destin
Face aux bacalhaos vociférant leur jargon
Petit moineau, dans mes bras se cramponnait
Quand dans les rues de cette maudite ville
Je m’esbignais de cette camisole d'asile
Et dont l'enfant témoin s'arquait
Ce jour où j'envisageais d'extraire de ce trou
Cette fortune qui actionne un coeur découvrant son reflet
On rêvait d'un bout de terre composée de liberté
Sans plus jamais de lames effrayantes appliquées sur le cou
Prisonnière de ces coulisses où les GENS chuchotent
Sans vous allonger la main ou une moindre clef
Ce sol où le coulis de sang d'une mesure pianotait
Développait un ton musical sous la loupiote
Le temps circule pourtant ne chasse l'odeur de morue
Elle rampe sur nos sillons de leurs pieuses pensées
Le regard du moineau est l'aigle des portes condamnées
Pardonner les esprits dits Saints n'est plus dans mon menu ...
LILASYS
Sur le parvis déserté par peur de l'orage
Les carillons en pleurs agitaient le clocher
Sous cette averse où mon corps fuyait les plaies
Sollicitant une auberge à mon exceptionnel bagage
Cette "aile" repliée en sanglots sous mes jupons
Terrorisée de ces menaces Ô âpre vin
Sa menotte cimentée à mon piètre destin
Face aux bacalhaos vociférant leur jargon
Petit moineau, dans mes bras se cramponnait
Quand dans les rues de cette maudite ville
Je m’esbignais de cette camisole d'asile
Et dont l'enfant témoin s'arquait
Ce jour où j'envisageais d'extraire de ce trou
Cette fortune qui actionne un coeur découvrant son reflet
On rêvait d'un bout de terre composée de liberté
Sans plus jamais de lames effrayantes appliquées sur le cou
Prisonnière de ces coulisses où les GENS chuchotent
Sans vous allonger la main ou une moindre clef
Ce sol où le coulis de sang d'une mesure pianotait
Développait un ton musical sous la loupiote
Le temps circule pourtant ne chasse l'odeur de morue
Elle rampe sur nos sillons de leurs pieuses pensées
Le regard du moineau est l'aigle des portes condamnées
Pardonner les esprits dits Saints n'est plus dans mon menu ...
LILASYS