J'ai l'âme qui, de nouveau, vacille
Car le bonheur repart, sans que je l'arrête
Je suis trop faible, les souvenirs étant mes seules béquilles
Insuffisantes pour me soutenir durant les tempêtes
Peu à peu, je vois s'éteindre l'espoir
Il se dissous, comme la lumière d'un réverbère
Dans une nuit trop noire
Me laissant aveugle dans ce terrifiant univers
La vie est trop difficile, je suis trop sensible ;
Une douce poupée de cire égarée dans des barbelés
Et je m'écorche sans cesse sur les épines, malhabile
Cherchant sans cesse où je pourrais aimer sans me blesser
Car le bonheur repart, sans que je l'arrête
Je suis trop faible, les souvenirs étant mes seules béquilles
Insuffisantes pour me soutenir durant les tempêtes
Peu à peu, je vois s'éteindre l'espoir
Il se dissous, comme la lumière d'un réverbère
Dans une nuit trop noire
Me laissant aveugle dans ce terrifiant univers
La vie est trop difficile, je suis trop sensible ;
Une douce poupée de cire égarée dans des barbelés
Et je m'écorche sans cesse sur les épines, malhabile
Cherchant sans cesse où je pourrais aimer sans me blesser