Je ne tiens plus que sur un seul pied.
Qui dois-je croiser pour espérer être aimé.
Au bout de mes doigts le regard se noie.
A force d'y croire le noir m'offre un couloir.
Il permet d'oublier de poster ses mémoires.
Si personne n'est volontaire pour y croire.
Comment bâtir le signe d'un espoir.
Qui derrière moi, efface le goût de vouloir.
Remettre tous ces moments à l'eau.
Laisser partir son coeur dans les flots.
Je prends du retard sur son regard.
Seul sur le quai comme sur un bout de papier.
Le mot aimer quitte le pont coule enfermé.
Par simple desraison l'eau emporte ce que l'on avait semé.
Par désolation voir le vide et le fond.
C'est triste de devoir souvent paraître et si peu exister.
Comme quoi donner te revient bien vide.
Je vais prendre le train sans rails du matin.
Pour que me laisse demain sur le bord du chemin.
Avec tous les chagrins et les regards sans destin.
Je regarderai bien dans mes mains si l'avenir ne me cache rien.
Sl
Qui dois-je croiser pour espérer être aimé.
Au bout de mes doigts le regard se noie.
A force d'y croire le noir m'offre un couloir.
Il permet d'oublier de poster ses mémoires.
Si personne n'est volontaire pour y croire.
Comment bâtir le signe d'un espoir.
Qui derrière moi, efface le goût de vouloir.
Remettre tous ces moments à l'eau.
Laisser partir son coeur dans les flots.
Je prends du retard sur son regard.
Seul sur le quai comme sur un bout de papier.
Le mot aimer quitte le pont coule enfermé.
Par simple desraison l'eau emporte ce que l'on avait semé.
Par désolation voir le vide et le fond.
C'est triste de devoir souvent paraître et si peu exister.
Comme quoi donner te revient bien vide.
Je vais prendre le train sans rails du matin.
Pour que me laisse demain sur le bord du chemin.
Avec tous les chagrins et les regards sans destin.
Je regarderai bien dans mes mains si l'avenir ne me cache rien.
Sl
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