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Post-scriptum…à ma vie. part 2

ecum

Nouveau poète
#1
Et, dans ces bras, la nuit, je m’enferme, elle m’aperçoit, elle vient à moi
Dans ces yeux noir profond, ou baigne mes larmes de joie
Elle éclaire ma flamme qui dessine son visage…son rivage
Je vibre, mes émois se posent dans son regard sans aucune rage
Et dans mon abîme, sous l’océan, je ne sens plus la tempête
Simplement les remous d’un jour de fête, qui se passe à tue-tête
Dans ma bulle qui libère simplement les écumes de mon être
Ma sphère est guidée par le vacarme étrange qui me noue
De ces moments insolent de douceur qui air qui dénoue ma vie
Transpercé simplement par des flots d’un bienfait, d’une simple paix
Aux normes qui me sont réel, elle me le souffle, elle me le dit
Cette éveil à la vie dans ce vide qui me rempli, est qui nous lie
Oui, pourquoi ! dit moi toi ma vie qui se sait
Je te caresse non pas du plat des mains
Mais du dos de la main
C’est plus encore qu’une simple caresse
Cela à un sens que peu d’être peuvent connaître
Mais cela te parle, sans un mot, sans aucune souffrance
Cela te fait naître une reconnaissance
Ce n’est pas par circonstance non ! C’est pas n’en plus ton existence
Qui frôle cette joie unique d’être à moi
Sous m’a doublure de ta cape pudique, je baisse mon regard
Juste pour que tu me glisses à toi ma vie
Un ironique sourire qui se veut énigmatique
Qui se sait ne pas être qu’érotique, ni hérésie
Je suis le contour de ta poésie
Ce mot qui ne fait pas parti de la vie
Mon rêve m’a éblouie, j’en avais tend envie
Jusqu'à la passion d’un mortel, d’un éternel envole
Qui est-elle? Tu me demandes
C’est au delà de toi, tu n’y peu rien, elle ressemble à toi
Mais, je ne parlerai qu’une fois... Contre elle
De tout ces idioties que fut ma vie
Je n’ai pas besoin de tes ailes
Que tu m’avais promis
Otage de ton outrage, je m’en irai pieds nus
Pour m’en dormir, me poser à coté d’elle
Au fond, au creux d’un silence qui lui dira en post-scriptum
Cette épitaphe
« Tel ce papillon de nuit brûlé
Par le leurre que fût sa vie
Il c’est évanoui dans la lumière
D’un soleil entourer d’un ciel noir
Il y a cru, pour l’avoir vu, il n’y pas survécu ».
 
#2
Il eu pourtant fallu qu'il y survive, pour apprendre que la vie parfois, cache de merveilleux émois que l'on ne pouvait soupçonner. J'aime