Partie 1
Michael Nyman - La leçon de piano -------------------------------------------------------------------------------
Tu pourras, toi ma vie me mettre à bout
Au bout, du gouffre de ce que, je subis
De ce malaise sournois que par nature, je maudis
Ce quotidien qui me contredit, me lamine et m’assassine
J’accrocherai toujours, ce masque effacer en te faisant mine
Et à ta face, je ne serai jamais à genoux.
Tu peu limiter encore et toujours comme tu aimes le faire
Mon espace vital… Il est si banal, si minable
Que le cercle de mes mains le remplisse d’espoir
Cet espoir que tu voudrais tant, qui se déploie à toi
Sans rien entrevoir dans ce purgatoire, que ta victoire.
Oui, tu le vois pourtant, que j’ai une lumière une âme
Mais, tu insiste, tu continu ton orgueil, m’étouffe
Tu m’inspires même plus, il n’y a que mes soupires
Qui rappel à mon corps que, je respire
Vas y continu ampute mon corps
Pour me punir pour me faire souffrir
Tu n’arraches rien que ces sourires qui valsent
Dans des pas de danse d’une indifférence
Vas y ! Continu balance tes rêveries dans cet éventail de gris
Fais moi croire que tu accompagne mes pleures, mes cris
Alors que je te le re-dis, j’en rie de ta niaiserie
Les cicatrises tel des rainures court et ce dessine sur ma chaire
Ils guident seulement mes larmes sous terre
Et, nourrissent, le temps perdu à chaque heure.
Ma raison ma nature se difforme en une douce torture
Elle reste muet à ta destiner, emprisonné d’être personne
Ma respiration s’essouffle d’un silence, d’une vie sans importance
Alors, que tu ne te doutes pas, que je caresse et cajole
Dans le noir de mon sinistre, qu’un simple envole
D’un pas, d’un regard mon rêve lâche du leste à mes ailes froissées
Qui éclaire un bonheur de parler s’en accrocher de celle qui met intime.
Cette épine de ma mémoire, victime de mon passé à effacer
Qui me répugne, qui m’ont tant changé même noyer, tuméfier
J’exulte tu comprends ! Non ! Tu ne peu t’imaginer, tu ne peu savoir
Ce que, je lui dis, enfin par écrit, par signe
Je lui sourie, je me sais, je re-vie sans cloison
Comme un amant, je m’offre à elle sans hésitation
C’est ma rançon, ma leçon de vie, ma lévitation
Mon évasion, ma raison mon échappatoire
Dans mon intérieur vêtu de velours noir
Sous la cape de ma vertu mes yeux, parle pour moi
Il touche la forme de lumière, défendu par ta verve
Et là, je reconnais sa douceur, son visage, sa peau, son odeur.
Tu as son image, sa voie, son corps tout ces attributs sans cette chaleur
Que mon cœur cherche en vain dans mes recoins d’un jour sans pleure
Avec elle, je dois t’apprendre, te dire qu’à chaque momentAu bout, du gouffre de ce que, je subis
De ce malaise sournois que par nature, je maudis
Ce quotidien qui me contredit, me lamine et m’assassine
J’accrocherai toujours, ce masque effacer en te faisant mine
Et à ta face, je ne serai jamais à genoux.
Tu peu limiter encore et toujours comme tu aimes le faire
Mon espace vital… Il est si banal, si minable
Que le cercle de mes mains le remplisse d’espoir
Cet espoir que tu voudrais tant, qui se déploie à toi
Sans rien entrevoir dans ce purgatoire, que ta victoire.
Oui, tu le vois pourtant, que j’ai une lumière une âme
Mais, tu insiste, tu continu ton orgueil, m’étouffe
Tu m’inspires même plus, il n’y a que mes soupires
Qui rappel à mon corps que, je respire
Vas y continu ampute mon corps
Pour me punir pour me faire souffrir
Tu n’arraches rien que ces sourires qui valsent
Dans des pas de danse d’une indifférence
Vas y ! Continu balance tes rêveries dans cet éventail de gris
Fais moi croire que tu accompagne mes pleures, mes cris
Alors que je te le re-dis, j’en rie de ta niaiserie
Les cicatrises tel des rainures court et ce dessine sur ma chaire
Ils guident seulement mes larmes sous terre
Et, nourrissent, le temps perdu à chaque heure.
Ma raison ma nature se difforme en une douce torture
Elle reste muet à ta destiner, emprisonné d’être personne
Ma respiration s’essouffle d’un silence, d’une vie sans importance
Alors, que tu ne te doutes pas, que je caresse et cajole
Dans le noir de mon sinistre, qu’un simple envole
D’un pas, d’un regard mon rêve lâche du leste à mes ailes froissées
Qui éclaire un bonheur de parler s’en accrocher de celle qui met intime.
Cette épine de ma mémoire, victime de mon passé à effacer
Qui me répugne, qui m’ont tant changé même noyer, tuméfier
J’exulte tu comprends ! Non ! Tu ne peu t’imaginer, tu ne peu savoir
Ce que, je lui dis, enfin par écrit, par signe
Je lui sourie, je me sais, je re-vie sans cloison
Comme un amant, je m’offre à elle sans hésitation
C’est ma rançon, ma leçon de vie, ma lévitation
Mon évasion, ma raison mon échappatoire
Dans mon intérieur vêtu de velours noir
Sous la cape de ma vertu mes yeux, parle pour moi
Il touche la forme de lumière, défendu par ta verve
Et là, je reconnais sa douceur, son visage, sa peau, son odeur.
Tu as son image, sa voie, son corps tout ces attributs sans cette chaleur
Que mon cœur cherche en vain dans mes recoins d’un jour sans pleure
C’est notre vie, qui se dit, qui se lit, je ressuscite
Aucune tristesse ne survie, aucune maladresse n’y transparaît(suite partie 2)