Poésie, tel poème
La poésie restant tel cet art sublime,
De traduire en mots les ressentis de l''âme,
Ces écrits subtils qui ne seront qu'abime,
De vengeance ou bien pour plaire à notre dame,
Engendrant querelles et contrevérités,
Quand il se voit l'amour ainsi transcendé,
Les plus beaux écrits ne sont pas tous vrais,
Dans les chambres obscurs de la sénilité,
La poésie, apaisement guerroyant,
Dans une chambre ou un meublé décrépi,
Un chat, un chien, ou un Berger allemand,
Tout existe là, nous sonnons l'hallali,
Il reste, notre âme, nos tourments, pour ça,
Pour exister encore un peu ici bas,
L'humour est condescendant et si convexe,
Navré que l'existence à ce point nous vexe,
L'art d'écrire est mort depuis des décennies,
L'actualité à tout détruit, c'est bas,
Les cendres fument sur la chapelle ici,
Les mots se meurent dans cette Hôpital.
La poésie restant tel cet art sublime,
De traduire en mots les ressentis de l''âme,
Ces écrits subtils qui ne seront qu'abime,
De vengeance ou bien pour plaire à notre dame,
Engendrant querelles et contrevérités,
Quand il se voit l'amour ainsi transcendé,
Les plus beaux écrits ne sont pas tous vrais,
Dans les chambres obscurs de la sénilité,
La poésie, apaisement guerroyant,
Dans une chambre ou un meublé décrépi,
Un chat, un chien, ou un Berger allemand,
Tout existe là, nous sonnons l'hallali,
Il reste, notre âme, nos tourments, pour ça,
Pour exister encore un peu ici bas,
L'humour est condescendant et si convexe,
Navré que l'existence à ce point nous vexe,
L'art d'écrire est mort depuis des décennies,
L'actualité à tout détruit, c'est bas,
Les cendres fument sur la chapelle ici,
Les mots se meurent dans cette Hôpital.
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