Poésie d’abribus et d’armoir’s électriques
Sur les pavés disjoints et le bitume gris,
S’annonce le mois d’juin, et puis, ce mercredi,
Je vous vois à l’arrêt « Canebière Vieux Port »
Entre des égarés et dans votre peau d’or,
L’étau soudain m’étreint à me couper le souffle :
Mon cœur était éteint, le voilà qui m’étouffe.
Je pâlis, je rougis ; j’accélère à pas lents :
C’est vous qu’un jour je vis plage des Catalans !
Vous lisiez Ferrante - une histoire de Naples -
La vision m’a hanté, comme un rêve qui frappe :
Parmi tous les gugusses, vous étiez hypnotique !
Et pendant tout l’hiver, mêm’ quand il faisait froid,
J’vous ai collé des vers, Ligne 83 :
Poésie d’abribus et d’armoir’s électriques.
Maintenant, vous voilà ... lisant mes quelques flammes
Et pendant tout l’hiver, mêm’ quand il faisait froid,
J’vous ai collé des vers, Ligne 83 :
Poésie d’abribus et d’armoir’s électriques ...
Aubépin des Ardrets
Sur les pavés disjoints et le bitume gris,
S’annonce le mois d’juin, et puis, ce mercredi,
Je vous vois à l’arrêt « Canebière Vieux Port »
Entre des égarés et dans votre peau d’or,
L’étau soudain m’étreint à me couper le souffle :
Mon cœur était éteint, le voilà qui m’étouffe.
Je pâlis, je rougis ; j’accélère à pas lents :
C’est vous qu’un jour je vis plage des Catalans !
Vous lisiez Ferrante - une histoire de Naples -
La vision m’a hanté, comme un rêve qui frappe :
Parmi tous les gugusses, vous étiez hypnotique !
Et pendant tout l’hiver, mêm’ quand il faisait froid,
J’vous ai collé des vers, Ligne 83 :
Poésie d’abribus et d’armoir’s électriques.
Maintenant, vous voilà ... lisant mes quelques flammes
Et pendant tout l’hiver, mêm’ quand il faisait froid,
J’vous ai collé des vers, Ligne 83 :
Poésie d’abribus et d’armoir’s électriques ...
Aubépin des Ardrets
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