Je ne suis qu’un menteur
Qui vie sans bonheur.
Je ne suis qu’un jeune homme peureux
Qui cherche désespérément à être heureux.
Pourquoi tout le monde va bien
Et que moi j’ai tant de chagrin ?
Mes sourires sont toujours hypocrites je crois
Car jamais, non jamais, je ne ressens de joie
Je suis un pauvre poète menteur
Qui cherche sans cesse le bonheur.
Pendant un temps béni, un rêve peut-être.
J’ai bien cru que je pouvais enfin l’être.
J’étais dans tes bras ;
je n’étais qu’à toi.
Mais je ne suis qu’un pauvre poète sans le sou
M’aimer, vivre avec moi, faudrait être fou !
Je ne suis qu’un poète menteur
Qui vie sans grand bonheur.
Nostalgique invétéré, je ne vois plus le présent.
Car j’ai de quoi me satisfaire le cœur maintenant.
Mais le regard par-dessus l’épaule, je pleurs ;
Mes larmes sont ainsi cachée…Je pleurs.
C’est étrange. Écrire ces quelques lignes plates
Fait couler les larmes, la tristesse me mate.
J’ai peur amis humains, j’ai tant perdu.
Je n’aimerai vraiment jamais plus.
Je ne suis qu’un pauvre fou qui pleurs.
Qu’elle folie de plaindre son malheur…
Je vais aller me promener sous la pluie qui tombe.
Elle cachera mes larmes, ce lourd rôle lui incombe.
Je n’ai plus confiance en personne, je ne sus plus assez fort.
Je ne peux dire à aucun, aucune, que je l’aime encore.
Je deviens devient fou, je deviens fou d’aimer
Pourquoi aimerai-je encore et toujours ce passé ?
C’est révolu, c’est fini, jamais plus elle ne m’enlacera.
Jamais plus en dormant, elle sourira : « Tu es là ! ! »
Jamais plus elle ne me demandera de voyager
Sur une étoile, notre étoile. Magnifiée !
Qui vie sans bonheur.
Je ne suis qu’un jeune homme peureux
Qui cherche désespérément à être heureux.
Pourquoi tout le monde va bien
Et que moi j’ai tant de chagrin ?
Mes sourires sont toujours hypocrites je crois
Car jamais, non jamais, je ne ressens de joie
Je suis un pauvre poète menteur
Qui cherche sans cesse le bonheur.
Pendant un temps béni, un rêve peut-être.
J’ai bien cru que je pouvais enfin l’être.
J’étais dans tes bras ;
je n’étais qu’à toi.
Mais je ne suis qu’un pauvre poète sans le sou
M’aimer, vivre avec moi, faudrait être fou !
Je ne suis qu’un poète menteur
Qui vie sans grand bonheur.
Nostalgique invétéré, je ne vois plus le présent.
Car j’ai de quoi me satisfaire le cœur maintenant.
Mais le regard par-dessus l’épaule, je pleurs ;
Mes larmes sont ainsi cachée…Je pleurs.
C’est étrange. Écrire ces quelques lignes plates
Fait couler les larmes, la tristesse me mate.
J’ai peur amis humains, j’ai tant perdu.
Je n’aimerai vraiment jamais plus.
Je ne suis qu’un pauvre fou qui pleurs.
Qu’elle folie de plaindre son malheur…
Je vais aller me promener sous la pluie qui tombe.
Elle cachera mes larmes, ce lourd rôle lui incombe.
Je n’ai plus confiance en personne, je ne sus plus assez fort.
Je ne peux dire à aucun, aucune, que je l’aime encore.
Je deviens devient fou, je deviens fou d’aimer
Pourquoi aimerai-je encore et toujours ce passé ?
C’est révolu, c’est fini, jamais plus elle ne m’enlacera.
Jamais plus en dormant, elle sourira : « Tu es là ! ! »
Jamais plus elle ne me demandera de voyager
Sur une étoile, notre étoile. Magnifiée !
Clément