A l’aube de l’aurore
Apparaissent au nord
Deux tibias une tête de mort
Le pavillon des hommes de Pandore
Un joyeux équipage
De pirates de tous âges
Seigneurs du pillage
Et maîtres du carnage
Empereurs des océans
Sur leurs vaisseaux dansants
Dans le souffle du vent
Ils écument les mers d’argent
En jouant des canons
Ils abordent les galions
Telle une déferlante de démons
Surgissant des enfers profonds
Cruels et sans pitié
Mais courageux et guerriers
Que ce soit dans la lumière ou l’obscurité
Ils se battent jusqu'à recevoir de la mort le funeste baiser
Ils s’en reviennent au port
Dépenser leurs trésors
Et chanter sans remord
Leurs saccages et leurs morts
Puis de nouveau larguent les amarres
Allant semer chaos et désespoir
Chasser richesses et êtres bizarres
Et à jamais hanter les eaux du Tartare
Apparaissent au nord
Deux tibias une tête de mort
Le pavillon des hommes de Pandore
Un joyeux équipage
De pirates de tous âges
Seigneurs du pillage
Et maîtres du carnage
Empereurs des océans
Sur leurs vaisseaux dansants
Dans le souffle du vent
Ils écument les mers d’argent
En jouant des canons
Ils abordent les galions
Telle une déferlante de démons
Surgissant des enfers profonds
Cruels et sans pitié
Mais courageux et guerriers
Que ce soit dans la lumière ou l’obscurité
Ils se battent jusqu'à recevoir de la mort le funeste baiser
Ils s’en reviennent au port
Dépenser leurs trésors
Et chanter sans remord
Leurs saccages et leurs morts
Puis de nouveau larguent les amarres
Allant semer chaos et désespoir
Chasser richesses et êtres bizarres
Et à jamais hanter les eaux du Tartare