L'iris étonnant, céruléen,
Dans lequel étincelle une larme
Qui jette dans un prisme kaléidoscopique
Toute la complexité de sa présence.
Une pointe de gris tel le granit
Qui, au flanc de la falaise
Semble tantôt assombrir tantôt pailleter
Toute sa verticale splendeur.
Quelques traits indigo, fins, presque indécelables
Qui donnent sa profondeur à ce ciel d'azur
Et permettent de sortir d'un bleu infini
et immuable, pour emprisonner mon regard.
Un cercle de jade autour de la pupille
Comme la teinte que prendrait le ciel
Au lever du jour au mois de mai
Pour s'abîmer dans la profondeur de l'océan.
Une fine ceinture marine, contraste hypnotisant
Entre le bleu qui me piège
Et que je ne peux quitter du regard,
Et le blanc qui l'entoure, comme les lymbes
Dans lesquelles je tombe quand tu n'es pas là.
Eléa-Myrtille, le 07/11/2017
Dans lequel étincelle une larme
Qui jette dans un prisme kaléidoscopique
Toute la complexité de sa présence.
Une pointe de gris tel le granit
Qui, au flanc de la falaise
Semble tantôt assombrir tantôt pailleter
Toute sa verticale splendeur.
Quelques traits indigo, fins, presque indécelables
Qui donnent sa profondeur à ce ciel d'azur
Et permettent de sortir d'un bleu infini
et immuable, pour emprisonner mon regard.
Un cercle de jade autour de la pupille
Comme la teinte que prendrait le ciel
Au lever du jour au mois de mai
Pour s'abîmer dans la profondeur de l'océan.
Une fine ceinture marine, contraste hypnotisant
Entre le bleu qui me piège
Et que je ne peux quitter du regard,
Et le blanc qui l'entoure, comme les lymbes
Dans lesquelles je tombe quand tu n'es pas là.
Eléa-Myrtille, le 07/11/2017