Elle a peur du vide, elle a peur de se perdre dans un monde qui ne lui ressemble pas. Elle ne voit plus la beauté des arbres, ni la couleur du ciel. Elle a peur du vide. Peur de ne plus pouvoir être, vivre et penser. Peur
Tant de nuits sans sommeil, sans existence, sans larmes, sans émotions. Pas assez de mots pour expliquer cette peur du vide. Une peur qu’elle ressent jours après jours, sans même trouver une once d’explication.
Lorsqu’elle se lève, elle ne voit que ce vide sous ses pieds. Un vide qui grandit sans lui laisser le moindre espoir de se refermer.
Ce vide n’est autre que l’absence de présence, de souffle, le souffle de ce qu’elle attend sans pouvoir vraiment le dire à haute voix. Une attente qui pressante lui devient une souffrance. Une souffrance mais il n’y a pas de douleur. Pas de douleur, non pas de douleur juste une attente dont elle souffre sans savoir ce qu’elle attend jours après jours.
Tant de nuits sans sommeil, sans existence, sans larmes, sans émotions. Pas assez de mots pour expliquer cette peur du vide. Une peur qu’elle ressent jours après jours, sans même trouver une once d’explication.
Lorsqu’elle se lève, elle ne voit que ce vide sous ses pieds. Un vide qui grandit sans lui laisser le moindre espoir de se refermer.
Ce vide n’est autre que l’absence de présence, de souffle, le souffle de ce qu’elle attend sans pouvoir vraiment le dire à haute voix. Une attente qui pressante lui devient une souffrance. Une souffrance mais il n’y a pas de douleur. Pas de douleur, non pas de douleur juste une attente dont elle souffre sans savoir ce qu’elle attend jours après jours.
