Quand je vois tes larmes, couler sans bruit
Sur tes déroutes, tes désillusions,
Je ne sais que faire, mon cœur se noie.
Mes mains s’emmêlent, se terrent,
Mes mots s’enlisent, s’évaporent
Ne reste que la moiteur de mes regards
Pour te hisser loin de tes naufrages.
Si la nuit venait, en cet instant précis,
De mes dix doigts, je saurais
dépoudrer tes songes, pour les farder
des splendeurs du ciel ,
de son trousseau de perles,
pour y voir quelques secondes
Ce précieux sourire
qui inspire et qui miroite,
tant d’horizons et d’aventures.
Mais encore, je vois tes larmes, s’écouler
dans une tranchée de troubles, d’afflictions,
Je m’imagine toutes tes guerres, tes revers,
Tes faux pas, tes combats.
Mais, malgré ma maladresse, je t’en prie
prends ma main, pour te hisser
Loin de tes naufrages, rejoindre le rivage.
Le silence n’amortit pas les peines
À deux ,on peut assécher tout ce torrent.
Sur tes déroutes, tes désillusions,
Je ne sais que faire, mon cœur se noie.
Mes mains s’emmêlent, se terrent,
Mes mots s’enlisent, s’évaporent
Ne reste que la moiteur de mes regards
Pour te hisser loin de tes naufrages.
Si la nuit venait, en cet instant précis,
De mes dix doigts, je saurais
dépoudrer tes songes, pour les farder
des splendeurs du ciel ,
de son trousseau de perles,
pour y voir quelques secondes
Ce précieux sourire
qui inspire et qui miroite,
tant d’horizons et d’aventures.
Mais encore, je vois tes larmes, s’écouler
dans une tranchée de troubles, d’afflictions,
Je m’imagine toutes tes guerres, tes revers,
Tes faux pas, tes combats.
Mais, malgré ma maladresse, je t’en prie
prends ma main, pour te hisser
Loin de tes naufrages, rejoindre le rivage.
Le silence n’amortit pas les peines
À deux ,on peut assécher tout ce torrent.
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